mercredi 31 octobre 2012

Le patch Y-Age Aeon est un produit unique en son genre.…

Le patch Y-Age Aeon est un produit unique en son genre.
 Les recherches cliniques effectuées par LifeWave ont démontré que le patch Aeon apportait les bienfaits suivants :
  • Diminution du stress dans le corps testée cliniquement
  • Diminution de l'inflammation testée cliniquement
  • Utilisation simple et pratique
  • Aucune pénétration de produit chimique dans le corps
Nos recherches produisent des résultats. Une étude clinique a révélé un rééquilibrage du fonctionnement du système nerveux après 10 minutes d’application. C’est le résultat d’un état calme, libéré de tout stress.
Dans une autre étude, l'imagerie infrarouge a établi une diminution de l'inflammation par suite de l'application d'Aeon.
 D'autres essais cliniques ont démontré que le patch Aeon diminuait les protéines réactives C (leur taux grimpe en réaction à l'inflammation). Ceci est important, car l'inflammation est souvent un symptôme de stress et elle peut détériorer le tissu sain et, même, l'ADN.
Pour avoir des infos sur les patchs "LifeWave", envoyez un mail à francois.felix@cegetel.net


lundi 29 octobre 2012

LifeWave - Un beau TEMOIGNAGE émouvant = MA MAMAN!!! lisez jusqu'au bout


Voici un témoignage émouvant de Jean-Luc distributeur "LifeWave". Je vous le transmet tel quel.

Bonjour à tous,

aujourd'hui est un jour spéciale pour moi !!!!

Je vous raconte le début de l'histoire.

Il y a deux ans ma maman m'appelle pour me dire qu'elle est hospitalisée, 

on l'a opérée des intestins, je vais la voir et le médecin explique que ce 

n'est pas certain que cela va tenir, les intestins sont tellement fins !!!

Je demande à ma maman de mettre les patchs "Glutathion" et "Carnosine" 

en alternance sur le ventre (elle connaît les patchs depuis 4 ans normal chaque fois que je

vais la voir je lui en parle !!!!!) elle a testé les patchs "sommeil"  sur son mari qui était en fin de vie 

et avait des angoisses le soir venu et ne dormait plus de la nuit, et tout le monde docteur et infirmière 

avaient été interpellé parce que les nuits il était apaisé. 

Je poursuis mon histoire !!! un an plus tard, nouveau coup de téléphone de ma maman pour me dire qu'elle 

est de nouveau opérée des intestins plus chimio..... Je lui demande si elle met toujours les patchs !!!!

réponse : va te faire foutre avec tes patchs !!!!!! 

Même si on ne se voit pas souvent cela fait mal à la reconnaissance !!!

Il y a deux mois nous allons dire un petit bonjour à ma maman qui n'est pas bien du tout, mais on revient de Lyon

ou David Schmidt nous a annoncé que les patchs "sommeil" sont reconnus par l'Union Européenne comme

"dispositif médical de classe 1 pour le traitement de l'insomnie" et là elle nous répond, ohh il m'en reste dans une pochette,

je vais les mettre ................................................................. Nous sommes très surpris !!!!!

En repartant je dit à Margaret, ma maman ne vivra plus très longtemps, son teint est gris, elle se replie, elle ne dort plus

à cause de crise d'angoisse la nuit ect.....  Elle ne veut plus de chimio; plus d'acharnement !!!!

Une semaine plus tard coup de téléphone, je n'ai plus de patchs "Sommeil" et je me sens un peu mieux.

Nous allons lui rapporté un paquet de "sommeil" et on lui conseille d'utilisé les autres patchs qui lui reste,

"energie" "Glutathion" et "Carnosine", une semaine plus tard elle me raconte que ses sels qui étaient noir 

sont redevenus normaux !!!! Son teint a changé aussi elle sourit de nouveau!!!

Aujourd'hui elle me raconte qu'elle est allée couchée à 21h00 et qu'elle pensait s'être réveillée  pour aller au toilettes vers 3h00 du matin 

et qu'il était 6h00000 , qu'elle c'était recouchée et quand je suis arrivé à 8h45' elle dormait encore, je l'ai réveillée.

Elle m'explique qu'elle a mangé un peu plus et avec appétit des œufs frais de sa voisine !!!!

Et le plus beau des cadeaux ....... le rire de ma maman !!!!!! 

Aujourd'hui elle attend avec impatience sa prise de sang pour voir si les marqueurs du cancer augmentent toujours.

On croise les doigts !!!!! et je vous tiens au courant.

Merci DAVID SCHMIDT, merci LES PATCHS, quelles beaux cadeaux de la vie.

Et vous vous avez toujours le sourire de votre maman !!!!!!  ou de vos amis .......

Quelle plus beau cadeau vous pouvez faire à votre maman qui vous a donné la VIE.

Je vous souhaite une lumineuse journée.

Jean-Luc

PS: ne faites pas attention aux fautes d'orthographes !!!! 

Pour avoir des infos sur les patchs "LifeWave", envoyez un mail à francois.felix@cegetel.net

dimanche 28 octobre 2012

Don’t Stress About Stress…

It doesn’t take clinical research to prove that stress isn’t good for your mental and physical health. When we are stressed, we feel it! But it does take scientific research to understand just how detrimental stress is to our overall health. 

Forbes writer, David DiSalvo, recently wrote an article discussing the effects of stress on our long-term mental health. He wrote, “Stress also causes the release of chemicals that impair the function of the prefrontal cortex, home of higher level thinking.  When we experience acute stress, these chemicals–including cortisol and norepinephrine–heighten our reactive tendencies by muting our reflective tendencies, leading to everything from anxiety to aggression to depression.” In addition to these effects, stress can also impair cognition and memory. 

Stress affects us physically and behavioral as well. The “Stress in America” report  issued by the American Psychological Association says that stress causes physical effects like headaches, chest pains and fatigue, and behavior changes, including overeating or undereating, drug or alcohol abuse, and social withdrawal. It’s absolutely critical to address stress if you want to live a higher quality of life! Fortunately, LifeWave has a solution to help. Our Y-age Aeon is clinically tested to reduce stress in the body! Two heart rate variability studies showed that Y-age Aeon had a rebalancing effect on the autonomic nervous system, which caused subjects to experience a more relaxed state. For more information on Aeon,

Ne vous laissez pas stresser par le stress

Nous n'avons pas besoin des études cliniques pour savoir que le stress est nocif aussi bien à la santé physique qu'à la santé mentale. Lorsque nous sommes stressés, nous le savons ! Les études cliniques, par contre, nous aident à comprendre les dommages causés par le stress à notre santé en général. 

David DiSalvo, rédacteur pour Forbes, a récemment écrit un article discutant des effets du stress à long terme sur la santé mentale. Il déclare : "Le stress entraîne également la libération de substances chimiques nuisant au bon fonctionnement du cortex préfrontal, siège de différentes fonctions cognitives dites supérieures.  Lorsque nous sommes sous l'emprise d'un stress intense, ces substances chimiques, incluant le cortisol et la noradrénaline, ont tendance à nous rendre plus réactifs en faisant taire nos aptitudes cognitives. Anxiété, agression et dépression se font alors connaître." En plus de ces effets, le stress peut également nuire à nos fonctions cognitives et à notre mémoire. 

Le stress nous touche d'un point de vue physique mais également comportemental. Le rapport "Stress aux États-Unis" publié par l'association américaine de psychologie indique que le stress est source de maux de tête, de douleurs à la poitrine et de fatigue, mais également de changements comportementaux comme la boulimie ou l'anorexie, l'alcoolisme ou la dépendance aux drogues voire de repli sur soi-même. Il est impératif d'aborder la question du stress si vous désirez améliorer votre qualité de vie ! Heureusement, LifeWave propose une solution à ce problème. Les essais cliniques ont montré que notre produit Y-age Aeon permet de réduire le stress dans notre corps ! Deux études sur la variabilité cardiaque ont démontré que l'Y-age Aeon a un effet de rééquilibrage sur le système nerveux autonome, entraînant un état de relaxation intense chez les sujets. Pour plus d'informations sur l'Aeon, Ciquez ici: http://lifewave.com/franfelix

samedi 20 octobre 2012

De nouveaux résultats prometteurs sur la Carnosine dans le cadre de la recherche contre le vieillissement sont publiés !

Un article sur www.emaxhealth.com ainsi qu'un extrait de l'émission à succès “Dr. Oz Show” ont récemment émis l'hypothèse selon laquelle la L-Carnosine pourrait être "la pilule miracle contre le vieillissement car elle préviendrait le raccourcissement des télomères".  Un télomère est une section d'ADN répétitif à l'extrémité d'un chromosome protégeant l'extrémité du chromosome de la détérioration. Chaque fois qu'une cellule se divise le télomère est, dans une certaine mesure, raccourci. Plus une cellule se divise, plus le télomère se raccourcit pour finalement devenir trop court, empêchant ainsi la cellule de se diviser à nouveau. C'est alors que la cellule meurt. Il s'agit d'un processus normal de vieillissement. 

Qu'est-ce que tout cela a à voir avec la carnosine vous demandez-vous ? Eh bien, comme vous le savez déjà, la carnosine est un nutriment naturellement présent dans notre corps, dont la quantité diminue avec l'âge. Des études ont montré que la carnosine est un puissant antioxydant présentant de nombreux avantages, notamment en contribuant à la réduction des rides et des ridules, à la protection du cerveau contre les plaques amyloïdes (une des causes de la maladie d'Alzheimer) et en offrant une meilleure protection de notre ADN que tout autre nutriment. 
L'article relate qu' "une étude a démontré que la L-Carnosine peut jouer un rôle protecteur en prévenant des dommages causés aux télomères et en diminuant le taux de raccourcissement des télomères durant la division cellulaire, ce qui, techniquement, ralentirait le processus de vieillissement." 
Alors qu'actuellement peu nombreuses sont les recherches réalisées sur la capacité de la carnosine à réduire le raccourcissement des télomères, les résultats obtenus sont indéniablement fascinants ! Pour plus d'informations sur la Carnosine Y-age de LifeWave, 

jeudi 11 octobre 2012

Quant mon urologue m'a dit qu'il fallait m'opérer !…




Le mot cancer fait peur. Et la peur est mauvaise conseillère. Dans le cas du cancer de la prostate, elle conduit à suivre aveuglément les conseils de son urologue, qui est aussi chirurgien. Bilan : la prostate est ôtée, le cancer avec.
Tout irait bien s'il n y avait pas de dommages collatéraux : impuissance, incontinence, problèmes urinaires...
Et si ce cancer n'en était pas vraiment un ? Et si dans la majorité des cas il pouvait être considéré comme une maladie chronique ne nécessitant qu'une surveillance active ?
Seuls 2 % des hommes ayant un cancer de la prostate à « risque intermédiaire », et 5 % des hommes ayant un cancer de la prostate à « risque élevé », meurent de cette maladie dans les 10 ans qui suivent le diagnostic. statistiques de la Mayo Clinic (un centre hospitalier de pointe aux Etats-Unis) publiées dans le Journal of Urology d'avril 2008 (1)
Quant aux patients atteints d'un cancer de la prostate de «risque faible», ils vivent, après le diagnostic, au moins dix ans de plus que les hommes qui n'ont pas développé ce cancer. Cela semble incroyable, mais pourtant, c'est vrai. Cette longévité est attribuée à la surveillance médicale active dont ces hommes bénéficient après la découverte de leur cancer.

C'est la thèse des auteurs du livre "
Touche pas à ma prostate ", du Docteur Mark Scholz et Ralph Blum.

Mark Scholtz est cancérologue. Ralph Blum est un patient qui vit depuis 20 ans avec ce cancer sans avoir subi de traitement radical. Études scientifiques et expérience personnelle à l'appui, les auteurs expliquent tout ce qu'il faut savoir sur ce cancer. Ils expliquent pourquoi c'est vous, et pas votre médecin, qui devez décider s'il faut vous opérer ou non.


Voulez-vous que cette opération vous change en
femme ?

L'opération de la prostate est une ablation chirurgicale. Elle vous rend souvent incontinent et impuissant. L'hormonothérapie qui suit l'opération réduit artificiellement le niveau de testostérone, l'hormone mâle.Cela veut dire que, non seulement vous ne pouvez plus physiquement faire l'amour, mais vous n'en avez même plus envie. Votre libido est à un niveau zéro. Même la plus excitante des femmes ne vous fait plus aucun effet.

Vous devenez comme une femme ménopausée. Vous souffrez de bouffées de chaleur, de sueurs nocturne. Vos muscles fondent, votre mémoire s'évapore. Vous prenez du poids. vos seins se mettent à pousser et deviennent souvent douloureux. (Cela s'appelle gynécomastie, en langage médical).

Et ne parlons pas des risques de la chirurgie :

La prostate est une glande de la taille d'une noix. Elle est située dans un endroit particulièrement difficile d'accès, sous la vessie, derrière le pubis. Le moindre coup de bistouri malheureux risque d'endommager la vessie et le rectum qui se trouvent à quelques millimètres. Pour parfaire la localistion, le tout est entouré de nombreux vaisseaux sanguins.
« Même un chirurgien chevronné peut terminer l'intervention dans un bain de sang, sans possibilité de voir correctement ce qu'il tente de retirer », explique le spécialiste de la prostate Dr Mark Scholz.

Les meilleurs chirurgiens n'obtiennent qu'un taux de réussite 50 % lorsqu'il s'agit d'épargner les minuscules nerfs érecteurs (ceux qui donnent à l'homme la capacité d'érection). Ces nerfs sont plus fins qu'un cheveu et invisible à l'œil nu. Résultat, 50% des hommes se retrouvent impuissants. (2)

Malgré cela, des urologues conseillent des centaines de milliers d'hommes, chaque année, de se faire retirer la prostate. Beaucoup de ces hommes ne souffrent que d'une forme de cancer «à risque faible».


Lisez le livre "Touche pas à ma prostate". Grâce à lui vous découvrirez :
  • Les avantages et inconvénients des biopsies
  • Les techniques d'imagerie médicale les plus adaptées à ce cancer
  • Les dernières avancées en matière de radiothérapie et d'hormonothérapie
  • Des conseils nutritionnels qui ont fait leurs preuves
  • Tout ce que votre médecin « oubliera » de vous dire le jour où il vous annonce que vous avez un cancer de la prostate
  • Ce que ressent précisément un patient avant, pendant, et après chacun des traitements,
  • Ce qu'est devenue sa vie personnelle, professionnelle, familiale et conjugale.
  • Toutes les thérapies alternatives et naturelles, testées pour vous.

Il s'agit d'un livre qui a été écrit pour aider toutes les personnes qui ont un cancer de la prostate, et qui reçoivent de tous côtés des avis divergents, en particulier s'il faut opérer ou ne pas opérer.

Le livre "Touche pas à ma prostate". vous dit pourquoi c'est vous, et pas votre médecin, qui devez décider
  • C'est vous, et pas votre médecin, qui devra se lever plusieurs fois par nuit pour uriner, pour le restant de ses jours.
  • C'est vous, et pas votre médecin, qui devra assumer, devant le désir de votre compagne, de ne pouvoir répondre à ses envies.

    La préoccupation première de votre médecin est de vous soigner. C'est bien normal, sa fonction est de guérir les malades.
S'il est chirurgien, il va vous opérer. S'il est radiothérapeute, il vous appliquera une radiothérapie. S'il est cancérologue, il vous prescrira une chimiothérapie.

Mais pour vous, l'objectif est-il de supprimer votre cancer ou de vivre le plus longtemps possible, le mieux possible, en restant un homme si possible.

Dans beaucoup de cancer, pour vivre mieux, et plus longtemps, la priorité est de vous guérir de votre cancer. « tuer la tumeur ». Et cela implique de la chirurgie, des rayons, de la chimiothérapie.

Mais le cas du cancer de la prostate est différent. C'est un cancer qui évolue très lentement. Vous devez savoir que vous aurez une longue vie après le diagnostic. En 10 ans la thérapie pour traiter ce cancer aura évolué. Les effets indésirables des traitements actuels eux, vont durer tout ce temps.

C'est à vous d'accepter, ou ne pas accepter de prendre le risque. Personne ne doit décider à votre place



Voici ce que dit le Dr Henri Joyeux, cancérologue à propos du livre "Touche pas à ma prostate" :
"Voici un livre, écrit du côté des patients atteints de cancer de la prostate, par un homme intelligent qui ne s'en laisse pas compter par la médecine officielle, un refuznik combatif, tel qu'il se présente.

Bien des femmes, concernées par leur homme, devraient le lire, comme un roman. Elles comprendront mieux, à la fois ce que les Américaines appellent « le vrai coeur du mâle » et pourront aussi aider leur compagnon à vivre le choc psychologique que représente l atteinte prostatique cancéreuse.


En plus du fait que l'homme n'est pas une statistique, elles apprendront que quand sa libido est au plus bas leur homme est capable d'une grande tendresse à laquelle elles ne sont souvent pas habituées.


Complémentaire de celui que j'ai écrit avec mon collègue radiothérapeute le Dr HM Hay, cet ouvrage est très documenté, passant en revue la longue marche que tout patient doit réaliser pour choisir au mieux son traitement.

Ici sont retracés tous les traitements proposés actuellement au patient atteint de cette maladie.

D'abord la chirurgie, la prostatectomie « totale » ou « radicale », avec ou sans le robot Da Vinci, qui, vous dit-on, est capable de conserver les nerfs érecteurs... Les résultats pourtant ne sont pas brillants !
Sans compter qu'il faut pratiquer 250 fois pour maîtriser la technique..
.


On vous affirme que la rééducation sphinctérienne, vous épargnera les fuites urinaires, l'incontinence au moindre effort tellement fréquente.
Un autre chirurgien plus honnête vous prévient des risques d'incontinence, mais vous promet de conserver votre érection, un autre vous affirme qu'avec le Viagra totalement inefficace dans ces cas et les traitements actuels, votre puissance sexuelle ne sera pas perturbée.
Doux rêves !

Les complications de la chirurgie ne sont pas banales...


Le mieux pour les éviter est de ne pas se faire opérer, car la combinaison des autres moyens donne les meilleures chances de vie confortable et même de guérison. Il n'est pas nécessaire de traverser la planète pour cela. Il faut se documenter et être en confiance.

Quant aux traitements hormonaux, ils sont assez bien expliqués et vous comprendrez bien qu'il s'agit des traitements anti-hormonaux. En effet de même que le cancer du sein est « hormono-dépendant » des deux hormones sexuelles féminines, les estrogènes et la progestérone, celui de la prostate est dépendant de l'hormone masculine qu'est la testostérone et de toutes les hormones artificielles dopantes encore trop utilisées chez les sportifs.

Un point de désaccord cependant avec les auteurs du livre : les nouvelles biopsies réalisées 9 ans après les premières, pour évaluer le score de Gleason, ne sont pas nécessaires selon moi. Pourquoi souffrir deux fois ? Les cellules cancéreuses sont présentes dans la prostate et il n'y a aucune chance qu'elles disparaissent. L'essentiel est de les tenir « en sommeil », « au repos », afin qu'elles se multiplient au rythme le plus bas.

Quant au consentement éclairé du patient, de l'annonce du diagnostic aux propositions de traitements, il est souvent synonyme d'un grand tunnel, avec peu de fenêtres.

L'art d'être patient est un art difficile, ce livre peut faciliter les choix."


La critique du --«The New York Times»
« Un regard provocateur et franc sur le monde déroutant du cancer de la prostate, de son état actuel dominé par une industrie à plusieurs milliards de dollars à la gamme de tous les traitements disponibles... Le cancer de la prostate est un pays sombre et mystérieux, et M. Blum et le Dr Scholz sont d'excellents guides pour se repérer dans cette jungle. Et en disant aux hommes de pratiquer une respiration profonde après avoir appris qu'ils ont un cancer de la prostate et avant de prendre toute décision, ils leur rendent un service inestimable. »


Biographie de l'auteur

Ralph H. Blum, écrivain, vit depuis 20 ans avec un cancer de
la prostate, sans avoir subi d'intervention chirurgicale radicale.

Le Dr Mark Schoiz, oncologue de la prostate, est directeur
exécutif de l'Institut de recherche sur le cancer de la prostate et
professeur à l'université de Californie du Sud.

Commandez ce livre sur Amazon en cliquant sur le lien:

Chaleureuses Amitiés, prenez soin de vous,
François Félix


Bibliographie :
Le livre du professeur Joyeux :

Guérir la Prostate en 90 Jours - Sans médicaments ni opération de Clapp Larry

(1) Stephen Boorjian, Mayo Clinic validation of the D'Amico risk group classification for predicting survival following radical prostatectomy. Journal of Urology, April 2008.
(2) John Mulhall, Defining and reporting erectile function outcomes after radical prostatectomy : Challenges and misconceptions, Journal of Urology, February 2009. 

jeudi 4 octobre 2012

Maladie de Lyme : l'épidémie silencieuse

Dominique Vialard  moblog'tripotjeu., 27 sept. 2012

   Cette maladie tire son nom d'un petit village du Connecticut où ont été identifiés les premiers cas au milieu des années 70. Pour la petite histoire, il y avait à l'époque tout près de ce village un laboratoire de recherches bactériologiques de l'armée américaine... Depuis il a été fermé. Faut-il y voir un lien de cause à effet ? On ne le saura sans doute jamais. Toujours est-il que cette maladie transmise par les tiques portées par des animaux sauvages, daims et chevreuils entre autres, a progressé de manière fulgurante aux Etats-Unis. Elle s'étend désormais en Europe et en Australie de façon alarmante.

Arte diffuse un documentaire affligeant

Alors faut-il avoir peur de la maladie de Lyme ? Surtout pas : « Les tiques ont beau ressembler à des monstres, la médecine moderne a la maladie de Lyme sous contrôle ». Telle est la conclusion sans appel d'un documentaire diffusé le 3 mai dernier sur Arte ! Pendant 50 minutes, ses auteurs ont tenté de répondre à la question : « danger réel ou imaginaire ? ». Ils ont donc tranché, allègrement. Pas de panique : la maladie, disent-ils, est bien connue, bien traitée. Ceux qui prétendent le contraire seraient des mystificateurs, des charlatans et des imposteurs ! Ou dans le meilleur des cas des « experts autoproclamés » dont les théories scientifiques « ne sont pas défendables ».

Moi, après avoir vu ce documentaire foutraque, je vous le dis : il y a vraiment de quoi s'inquiéter !

Des charlatans, et des caisses noires...

L'Allemagne, où cette enquête a été menée, est un laboratoire avancé pour étudier le phénomène. Avec plus d' un million de malades traités en 2010 selon la sécurité sociale allemande, c'est le pays le plus touché en Europe après l'Autriche. Et outre-Rhin, la maladie de Lyme fait l'objet d'un vrai business. Avec ses charlatans, sûrement, et ses profiteurs. Comme l'industrie pharmaceutique qui, selon la responsable de la Fédération Allemande de la Borréliose s'engraisserait à coups d'antibiotiques sur le dos des malades. Selon cette femme très combattive qui a connu le calvaire de la maladie, il y aurait même dans ce pays « une cagnotte » de l'industrie pharmaceutique qui rétribuerait médecins et experts pour « continuer à minimiser la maladie de Lyme ». L'intérêt de ces grandes manœuvres ? Soutenir le business de tests diagnostiques réputés peu fiables et d'antibiothérapies coûteuses prescrites à tout va. 

Plus de 3 millions de malades ?

Comparée à Allemagne, où cette maladie infectieuse transmise par les tiques fait des ravages, la France serait, selon les autorités sanitaires, un Eden. Il n'y aurait dans notre pays que 12 000 à 15 000 nouveaux cas par an selon les estimations officielles. L'Institut national de veille sanitaire (INVS) dénombre pour sa part 5 500 cas déclarés. C'est tout ! Et encore, certains médecins vous diront qu'on exagère, comme en Allemagne, qu'on fabrique une maladie chronique qui plonge nombre de personnes dans la peur « à partir d'une maladie facilement identifiable ».

Pourtant, selon le Pr Christian Perrone, chef du service des maladies infectieuses de l'Hôpital Raymond-Poincaré de Garches, qui l'étudie depuis de longues années, plus de 5% des populations, au minimum, seraient touchés, soit, en France, plus de 3 millions de personnes. 

Plus qu'une maladie, un calvaire !

À part dans l'Est de la France, où la maladie est endémique, les médecins connaissent très peu la maladie de Lyme, sinon pas du tout. Ceux qui l'ont voient souvent 3 ou 4 médecins avant qu'enfin, on évoque Lyme. On fait des tests, on ne trouve rien et un jour ou l'autre, on finit par se retrouver chez le psychiatre avec des antidépresseurs... entrant ainsi dans une spirale infernale dont on sort rarement indemne. C'est un peu l'histoire de la syphilis, qui autrefois était considérée comme une maladie mentale, avant qu'on ne découvre qu'elle était due à une bactérie. Et le parallèle n'est pas gratuit : la bactérie de la syphilis appartient à la même famille des spirochètes que les borrélies de la maladie de Lyme.

Des bactéries organisées et intelligentes...

Les borrélies, dont on connaît bien maintenant les nombreuses sous-espèces, sont des bactéries d'un genre très particulier. Ce sont des spirochètes, qui se caractérisent par une forme spiralée. Grâce à cette configuration, et à leurs capacités motrices bidirectionnelles,elles sont capables de déjouer toutes les stratégies du système immunitaire. Elles sont capables de prendre une forme particulière, dite « forme L » : une stratégie redoutable propre aux bactéries les plus intelligentes qui leur permet de se cacher dans des kystes sphériques dans tous les tissus et tous les organes. De cette manière, elles échappent aux antibiotiques et aux globules blancs.

A partir de l'intestin de la tique qui suce le sang humain, les borrélies remontent dans son système digestif puis s'insinuent dans le derme, entre les cellules de peau et les fibres de collagène. Elles provoquent des dégâts sur la peau (dermo-borréliose), s'en prennent très rapidement aux articulations (arthrite de Lyme), en particulier du genou, aux nerfs (neuro-borréliose) et peuvent même atteindre le cerveau et en dernier ressort le cœur.

Les symptômes : plus qu'un inventaire à la Prévert

La maladie évolue classiquement en trois phases, mais ce n'est pas toujours aussi évident. Une phase peut manquer ou passer inaperçue. Et les différents symptômes - certains experts allemands en répertorient jusqu'à 160 ! - peuvent parfois se mélanger, sans qu'il y ait de symptômes spécifiques qui permettraient de reconnaître immédiatement la maladie. Ce qui rend le tableau clinique de cette infection multiforme complexe, et le diagnostic difficile.

La phase primaire se caractérise par la survenue d'un érythème (rougeur) cuisant, grossièrement circulaire et centré sur la piqûre de la tique. Mais il peut aussi ne pas apparaître, cela dépend de l'espèce de borrélie (c'est toutefois le plus souvent le cas en Europe). Il survient de 3 à 30 jours après la piqûre. Puis, dans la 2ème semaine de son apparition, il pâlit en son centre et disparaît en quelques jours voire quelques semaines. Cette phase s'accompagne souvent d'un état fébrile avec frissons, courbatures, douleurs articulaires, ou maux de tête.

La phase secondaire correspond à la dissémination de la bactérie dans l'ensemble du corps. Elle débute quelques semaines à quelques mois plus tard. Les symptômes observables ici sont :
  • Des signes cutanés : souvent semblables à l'érythème chronique de la phase primaire, sous forme de nodule situé au niveau d'une pavillon d'une oreille ou d'un mamelon.
  • Des signes neurologiques : méningites, névrites (inflammation des nerfs) souvent très douloureuses avec des maux de tête et une sensibilité cutanée exacerbée.
  • Des signes rhumatologiques : atteintes de plusieurs articulations, dont souvent le genou, qui deviennent enflées, chaudes, rouges et douloureuses. Ce rhumatisme évolue par poussées espacées de périodes de rémission d'environ un mois.
La phase tertiaire, tardive, survient des mois, voire des années après l'infection. Elle se remarque par :
  • Des manifestations neurologiques et lésions démyélinisantes proches de la sclérose en plaques.
  • Des signes rhumatologiques proches de ceux de la polyarthrite rhumatoïde.
  • Des signes dermatologiques : plaques violacées évoluant vers la sclérose associée à des arthrites et des neuropathies.
Un diagnostic difficile, des analyses trompeuses

Le diagnostic de la maladie n'est pas aisé, aussi bien à cause de sa mauvaise connaissance tant par les malades que par les médecins, mais aussi en raison des très nombreux aspects qu'elle peut présenter. On a vite fait de diagnostiquer une mononucléose ou une fibromyalgie, et ce ne sont que deux exemples, là où plus probablement se cache une borréliose. Et ce qui ne facilite pas les choses, c'est que beaucoup de malades ne se souviennent d'aucune piqûre de tique, ce qui rend le diagnostic encore plus difficile. Il est d'ailleurs très probable que la maladie soit transmise par d'autres voies que la piqûre de tique comme la transfusion sanguine, la grossesse, et l'on suspecte aussi les piqûres de moustiques, d'araignée et même d'aoutats...

Quand les tests de dépistage ne tiennent compte que des souches américaines

Dans tous les cas, votre médecin demandera des analyses de sang : ce sera surtout la sérologie de Lyme (test ELISA et Western Blot) qui recherchera les anticorps contre la Borrelia burgdorferi (avec dosage des IgG et des IgM) qui permettra le diagnostic lorsqu'il est positif. Mais il existe un nombre important de faux négatifs, ne serait-ce que parce que la Borrelia burgdorferi, si elle est dominante aux Etats-Unis où la maladie fait aussi des ravages, est plutôt minoritaire en Europe. Chez nous, on retrouve plus souvent Borrelia afzelii, bactérie dermatrope (qui cible la peau) et Borrelia garinii neurotrope...

C'est ainsi qu'on estime qu'il y aurait de 30 à 55% de faux négatifs à la maladie. Ainsi, une sérologie positive est un élément affirmatif, mais une sérologie négative ne peut pas permettre d'éliminer formellement une maladie de Lyme.

Les antibiotiques : nécessaires mais pas suffisants

Le traitement classique de la maladie de Lyme consiste en une antibiothérapie (les médecins allemands ont raison) puisque la maladie est due à une bactérie. La durée du traitement (21 à 30 jours généralement, jusqu'à 2 mois) et les doses (souvent moyennes ou fortes) dépendent de l'ancienneté et de la gravité de la maladie. Le traitement antibiotique sera d'autant plus efficace qu'il est précoce. Ce traitement ne parvient cependant pas à guérir tous les cas de maladie de Lyme, surtout lorsqu'elle est diagnostiquée tardivement. Car la bactérie demeure souvent tapie dans des sites difficilement accessibles aux antibiotiques, comme les hématies, les lymphocytes, ou des points enkystés... Et elle pourra ressurgir ultérieurement et provoquer de nouvelles pathologies semblables à celles évoquées dans la phase tertiaire.

L'affaire du Tic Tox : quand les médecines alternatives dérangent

Face à une médecine conventionnelle relativement peu efficace, et face à une prévalence, en France, largement sous-estimée, les traitements naturels, une fois n'est pas coutume, sont largement plébiscités. Les huiles essentielles et les alcalinisants en tête. Le plus connu de ces traitements naturels, le Tic Tox, vient d'en faire les frais. Ce produit mis au point par Bernard Christophe, un pharmacien spécialisé en phyto-aromathérapie depuis de longues années, était jusqu'à il y a peu l'un des rares à pouvoir endiguer la borréliose. Il était vendu par le laboratoire Nutrivital, jusqu'à ce qu'il soit interdit à la vente, au début de l'année, par l'Afssaps. Motif officiel : le Tic Tox ne bénéficie pas d'une autorisation de mise sur le marché (AMM) délivrée par l'Afssaps et celle-ci lui est refusée parce que remède contient, certes, de l'huile essentielle de sauge, mais en dessous des normes considérées comme toxiques.

Ce qui n'est pas « officiel » est systématiquement étouffé

Mais le scandale va beaucoup plus loin. Cette opération de démantèlement du laboratoire Nutrivital (non seulement la vente du Tic Tox est interdite mais également sa fabrication et son utilisation), s'inscrit clairement dans une démarche visant à supprimer une approche alternative de la borréliose.

Bernard Christophe travaille depuis longtemps sur la maladie de Lyme, c'est l'un des spécialistes français dans ce domaine. L'homme est excessif, certes, notamment quand il s'en prend à l'antibiothérapie qu'il juge en échec et qui selon lui, « rend le patient plus malade qu'il ne l'était », mais il met le doigt sur les déficiences des méthodes officielles et sur l'étonnante absence d'une véritable recherche de solutions de la part des autorités médicales. 

Devant l'incroyable manque de fiabilité du test ELISA, Bernard Christophe s'est tourné vers un test allemand, le test All-Diag (de Mikrogen) beaucoup plus fiable car tenant compte des souches de bactéries européennes et pas seulement des souches américaines comme le test ELISA dont les seuls résultats font souvent foi chez les médecins. Comme par hasard, l'Agence régionale de santé (ARS) a ordonné, en début d'année, la fermeture manu militari du laboratoire strasbourgeois du Dr Schaller, qui proposait ce test depuis 2007. Ce laboratoire est bien connu de nombre de patients qui ont fait appel à lui pour un diagnostic sûr. Il n'a maintenant plus l'autorisation d'exercer. Le texte préfectoral motivant cette décision pointe un « diagnostic de la maladie de Lyme par biologie moléculaire non validé, non conforme aux recommandations officielles en vigueur »...

Un prix Nobel a dit tout haut ce que beaucoup hurlent en vain

Déjà en 2008, dans son livre « Les combats de la vie - Mieux que guérir, prévenir », que j'ai eu le bonheur d'écrire avec lui, le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine, balayait le déni officiel qui pèse sur cette maladie et affirmait la réalité de cette maladie et de sa forme chronique. La bactérie incriminée induit selon lui « un double méfait » : « Une maladie aiguë, d'une part, se manifestant de façon visible par des arthrites, des troubles cardiaques et des fatigues qui ne durent pas. D'autre part et malheureusement aussi, une infection chronique pouvant perdurer plusieurs années et laissant parfois des séquelles neurologiques (paralysies faciales) ou cutanées (atrophies). »

Selon Luc Montagnier, la borrelia crée un stress oxydant dans l'organisme à l'instar de ce qui se passe dans bien des infections froides, silencieuses. Et elle peut s'associer facilement à d'autres agents pathogènes. En 2008, il relevait déjà ce danger tout en insistant sur la nécessité d'aller contre le dogme médical qui veut qu'on utilise les antibiotiques avec parcimonie : « La Borrelia peut s'associer à un autre agent connu pour être à l'origine de la maladie dite des griffes de chat*, une Bartonella Henselae . L'association de ces deux micro-bactéries entraîne une maladie chronique plus grave, avec des réactions auto-immunes fortes. Un traitement composé de plusieurs antibiotiques et administré en longue durée est nécessaire pour se débarrasser de cette infection. Souvent la forme chronique est ignorée et le médecin non averti prescrit simplement une cure-flash d'antibiotiques pour 15 jours, poussant ce faisant le germe à s'installer durablement sous une forme masquée. Grave erreur ! Alors qu'il faudrait continuer le traitement jusqu'à disparition de tous les signes de la présence du germe »

Une épidémie mondiale, comme le Sida

Comme le Pr Perronne, comme d'autres, de plus en plus nombreux, le Pr Montagnier poursuit ses recherches sur la borréliose. Avec des avancées importantes et un constat : la maladie s'est maintenant généralisée : « Le monde entier est infecté. Pas comme le Sida, mais presque », a-t-il affirmé début mars dans un entretien avec une journaliste de LaNutrition.fr tout en regrettant qu'il y ait encore « un débat pour dire que l'infection chronique n'existe pas ». Et de mettre lui aussi le doigt sur le plus gros problème : « C'est sous-estimé par les médecins et en plus les tests sérologiques ne sont pas très fiables ». Le Nobel estime qu'il faudrait utiliser les tests moléculaires comme la PCR (Polymerase chain reaction), technique permettant d'amplifier des séquences spécifiques d'ADN ou d'ARN et de détecter ainsi les bactéries, même cachées.

Comment se faire dépister, comment se soigner ?

Le seul laboratoire en France compétent pour le faire étant désormais fermé, le plus sûr est de traverser le Rhin pour obtenir un diagnostic sûr. Quoi qu'on en dise, les Allemands connaissent et maîtrisent beaucoup mieux que nous - ce n'est pas difficile - cette infection.

Quant au traitement, officiellement, il passe par une antibiothérapie longue que seul un médecin averti pourra vous prescrire. C'est là un challenge : trouver un thérapeute qui n'a pas peur de la Sécurité sociale. Ou alors, là aussi, mieux vaut aller en Allemagne. Ce n'est pas si loin, et ce n'est qu'un petit investissement au regard des conséquences pénibles de la borréliose. Si vous choisissez cette voie de traitement, il est important de prendre des pro-biotiques en complément et de ne pas laisser s'installer des champignons et autre candidose en réaction. D'où l'intérêt d'être conseillé par un naturopathe en parallèle du médecin.

La solution phyto

C'est l'autre volet des traitements et pas le moindre. Car les plantes, en particulier sous forme d'huile essentielle, montrent une certaine efficacité. A elles seules, à moins d'être prises immédiatement après une piqûre, elles ne suffisent pas, elles ne guérissent pas mais elles s'avèrent être efficaces pour stabiliser l'infection et pour faire taire ses symptômes.

J'ai demandé à mon ami Sylvain Bodiot, naturopathe et aromathérapeute dont je vous conseille d'écouter l'émission mensuelle sur Radio Médecine Douce (ici), de me donner son protocole pour la maladie de Lyme.

Voici sa prescription, pour vous : 

Faites réaliser par votre pharmacien, le mélange suivant :
  • HE Cinnamosma fragrans 10 ml
  • HE Cinnamomum camphora ct cinéole 5 ml
  • HE Eucalyptus radiata ssp radiata 3 ml
  • HE Melaleuca alternifolia 3 ml
  • HV de noisette 30 ml
Appliquez sur les avant bras et le thorax (8 à 10 gouttes) pendant 15 jours chaque mois (du 1er au 15)

Puis prendre par voie orale et pendant 20 jours (1 gélule 3 fois par jour) la synergie d'huiles essentielles ci-dessous (à faire aussi réaliser par le pharmacien)
  • HE Eugénia caryophyllus 25 mg
  • HE Citrus lemon (z) 25 mg
  • HE Origanum compactum (25 mg)
  • Exc QSP 1 gélule gastro résistante n°2 N° LX
Cessez le traitement totalement pendant 7 jours puis le reprendre, le tout pendant 4 mois :

En complément, n'oubliez pas de prendre le plus possible d'antioxydants, de la propolis, de l'extrait de papaye fermentée, de la vitamine C Acérola en cures prolongées pour remonter le système immunitaire et contrecarrer le stress oxydant. Prenez aussi de l'Echinacéa purpurea en teinture mère du 1er au 10ème jour de chaque mois.

Une lueur d'espoir

Vous l'avez vu, certains de nos plus éminents médecins recherchent activement les causes de la maladie de Lyme. Cela débouchera assurément sur des protocoles de soins qui parviendront à débusquer la bactérie jusque dans ses plus profondes cachettes. Reste à faire tomber les remparts d'une médecine conservatrice, mais nous y travaillons. Comme les associations regroupant experts et malades qui ont vu le jour ces derniers temps et auprès desquelles vous pourrez trouver du réconfort, des soutiens et des conseils avisés. Voici les plus actives d'entre elles :

- Lyme Info (voir le site ici)

Tiquatac.org (ici)

- Les Nymphéas (ici)

- Réseau borréliose (ici)