lundi 15 avril 2013

Glutathion: un article de Dominique Vialard

« On a beau avoir une santé de fer, on finit toujours par rouiller. » Jacques Prévert ne pouvait pas mieux dire. Car on le sait bien en 2013 : le stress oxydant est notre ennemi public numéro 1.
C’est cette sorte de « rouille » qui, en s’accumulant dans notre corps, nous fait vieillir plus vite. C’est elle qui nous pousse dans la maladie chronique, le cancer, Parkinson, Alzheimer… C’est elle qui finit par nous tuer.
Tout le monde a entendu parler des antioxydants et de leurs cibles préférées, les radicaux libres. Il y en a à toutes les sauces dans les publicités pour les cosmétiques et les compléments alimentaires vendus en pharmacie. Mais au fait, de quoi parle-t-on ? Sait-on encore à quoi servent exactement les antioxydants ? Faut-il vraiment en prendre à tire-larigot et lesquels ?
Tout a commencé par des bouts de fer et de caoutchouc
C’est outre-Manche qu’est née l’appellation « radicaux libres », à la fin des années 30, après que des chimistes aient observé que des atomes et des molécules instables, extrêmement réactives, étaient impliquées dans l’apparition de la rouille du fer et des fendillements du caoutchouc.
Sûrs qu’il s’agissait de sous-produits de l’oxygène de l’air, ils les baptisèrent free radikals. Libres… car il s’agit d’atomes possédant à leur périphérie un électron libre, isolé, baladeur. Pour devenir plus stables, ces atomes ou molécules donnent un électron ou arrachent un autre électron à un atome ou une molécule en possédant deux à la périphérie, la transformant à son tour en radical libre.
Le double jeu des radicaux libres
Plusieurs scientifiques allaient s’emparer de cette notion dont un médecin, ancien chimiste de la Shell, installé à Berkeley, Denham Harman. Le père de la théorie du stress oxydant imagina, dans les années 50, que ce phénomène destructeur pouvait être extrapolé à l’organisme humain (1). Et il avait raison…
Aujourd’hui, nous savons que ces radicaux libres jouent un rôle majeur à la fois positif et négatif. Lorsqu’ils sont dans un excès insupportable pour le corps, celui-ci entre dans un stress oxydatif, avec des conséquences d’une portée difficilement imaginables sur notre santé. Cet excès apparaît quand nos défenses naturelles anti-oxydantes, provenant soit de molécules que nous ingérons, soit que nous fabriquons, sont dépassées.  Ce que l’on ignore cependant, c’est que ces radicaux libres, à doses physiologiques, – tout est dans tout – ont ausssi un effet bénéfique pour l’organisme (2).
Bataille au cœur de nos cellules
D’où viennent ces radicaux libres ? Ce sont en fait des sous-produits d’un métabolisme vital qui part de l’oxygène pour aboutir à des molécules très riches en énergie, l’ATP.
Tout se passe dans des petits organites intra-cellulaires, les mitochondries. Ce sont en quelque sorte les centrales énergétiques de nos cellules. De la même façon qu’un moteur à explosion de voiture brûle de l’essence en dégageant des émanations polluantes, il y a dans notre chaîne interne de production d’énergie des sous-produits nocifs : des radicaux libres.
Et plus le kilométrage de la voiture est élevé plus la voiture pollue : en vieillissant nos mitochondries fonctionnent moins bien et accumulent aussi davantage de radicaux libres au fil des ans.
« C’est l’abus qui tue », ma grand-mère avait raison
C’est donc l’excès de radicaux libres qui est dangereux et cet excès peut provenir aussi de sources extérieures présentes dans notre environnement. C’est bien le problème aujourd’hui. Ma grand-mère avait raison, c’est l’abus qui tue !
Les radicaux libres sont produits par les polluants chimiques, par les radiations de toutes sortes, les agents infectieux, l’alimentation, les médicaments… et sans doute par le stress psychologique. En réalité, les conditions de la vie moderne regorgent de facteurs susceptibles de générer des radicaux libres. Mieux vaut le savoir car notre santé passe d’abord par celle de nos cellules.
Comment l’oxydation des cellules entraîne des dommages irréversibles
Ces molécules étant un peu à l’organisme ce que la rouille est au fer, le rancissement au beurre ou la craquelure au caoutchouc, les mécanismes de nos cellules et de nos tissus se grippent, leurs constituants « rouillent» et se transforment.
Oxydés, les composants de nos cellules subissent des dommages irréversibles. Aucun d’entre eux n’est à l’abri qu’il s’agisse des protéines, des lipides, des glucides ou de l’ADN… avec, à la clef, des cancers, du diabète, des maladies articulaires, des plaques d’athéromes sur les parois des artères, des inflammations…
Contre le stress oxydant, la « détoxification » ne sert à rien
Il ne faut pas confondre ces déchets avec les toxines que l’on a coutume d’éliminer par la dépuration en « rinçant » notre organisme, en buvant beaucoup d’eau et qui sont ensuite évacuées par l’intestin ou les reins.
Non, les molécules oxydantes, malheureusement, ne disparaissent pas en quelques gorgées : si les « éboueurs » de l’organisme ne suivent pas le rythme de leur production, elles restent sur place, se déposent souvent, non pas dans les cellules elles-mêmes mais à la surface extérieure de celles-ci.
Nous avons des défenses antioxydantes mais…
Bien qu’inégaux devant les radicaux libres (comme sur le plan immunitaire) nous sommes naturellement armés pour les neutraliser dès qu’ils commencent à présenter un danger.
Nous disposons à cet effet d’un certain nombre d’antioxydants endogènes que nous fabriquons. Ainsi, nous produisons en particulier une petite molécule faite de trois acides aminés (glycine, cystéine et glutamate), le glutathion : c’est à la fois le meilleur capteur de groupements chimiques oxydants et de surcroît un excellent détoxifiant. On l’appelle « le maître antioxydant » et vous allez le voir, ce titre n’est pas usurpé.
Bien-sûr, notre organisme fabrique d’autres antioxydants comme l’acide urique ou la superoxyde dismutase (SOD) mais aucun n’est aussi puissant ni aussi généraliste que le glutathion.
Notre source interne de glutathion se tarit à la cinquantaine
Le rôle bénéfique des antioxydants sur la durée de vie a été démontré par plusieurs expérimentations depuis la fin des années 50, époque à laquelle Denham Harman réussit à faire vivre des souris 20% plus longtemps en enrichissant leur alimentation en antioxydants.

Nous savons aussi et depuis peu, qu’à l’approche de la cinquantaine, l’homme et la femme deviennent particulièrement fragiles face aux radicaux libres. C’est la conclusion d’une très sérieuse étude américaine réalisée par Dean Jones en 2002… Cette équipe d’Atlanta a étudié certains paramètres pouvant refléter le stress oxydant, tel que la quantité de glutathion oxydé (le mauvais ou GSSG) et de glutathion réduit (le bon ou GSH) dans le plasma ou dans les globules rouges. Elle a ensuite recherché des corrélations avec les caractéristiques des sujets et n’en a trouvé aucune à l’exception, très nette, de l’âge. Effectivement, à partir de 45-50 ans commence un déclin du glutathion réduit tandis que le glutathion oxydé augmente.
C’est l’âge critique du vieillissement humain, celui où commencent à apparaître les phénomènes de dégénérescence. Stress oxydant et vieillissement sont étroitement liés et, en corollaire, il est évident qu’un stress excessif se manifeste par un vieillissement prématuré. La plupart des maladies de l’époque, celles qui nous font le plus peur, se situent précisément au croisement de ces deux phénomènes.
Le glutathion est une molécule que l’on considère comme essentielle à l’apparition de la vie humaine sur Terre. Elle contrôle la plupart des processus vitaux de nos cellules. Ce produit éminemment naturel fabriqué par notre foie, est depuis longtemps utilisé sous une forme injectable. Si vous en injectez à un malade de Parkinson, ses tremblements cessent immédiatement.
Un antioxydant immunostimulant sans équivalent
Le glutathion réduit (GSH) est l’un des compléments les plus précieux qui soient. Qu’il s’agisse de maladies sévères comme le diabète qu’il aide à prévenir de façon visible ou de petits maux (tâches de vieillesse). C’est par exemple un excellent produit contre les allergies : en particulier contre l’eczéma, qu’il guérit de façon spectaculaire en quelques jours. Mais il agit sur tant de de problème de santé qu’il serait trop long d’en établir la liste exhaustive ici.
Plus de cent années de recherches et 81 000 articles scientifiques ont établi que le glutathion est l’une des plus importantes molécules protectrices dans l’organisme, y compris au niveau immunitaire qu’elle nourrit indirectement. Une faible concentration en GSH a été impliquée dans la plupart des maladies (avec pour corollaire des améliorations avec un apport de glutathion)  :
  • neuronales (Parkinson, Alzheimer…),
  • hépatiques,
  • pancréatiques,
  • gastro-intestinales,
  • rénales,
  • pulmonaires et respiratoires (asthme),
  • cardiaques,
  • musculo-squelettiques,
  • visuelles (un faible taux est notamment associé à la DMLA et à la cataracte),
  • auditives,
  • infectieuses (3).
Dans les cancers (4) comme dans le Sida et même des maladies encore mystérieuses comme l’autisme (5) ou la thalassémie…
Tous ceux qui en ont pris, y compris moi-même, ont senti un renouveau de bien-être général en quelques jours.
Un puissant nettoyeur de métaux lourds
A partir du foie où il est stocké avant d’aller alimenter toutes nos cellules, le glutathion joue aussi un rôle majeur dans la défense de l’organisme contre les xénobiotiques (substances étrangères à l’organisme, pollution, médicaments…).
Des études ont montré que de faibles niveaux de glutathion sont synonymes d’un fonctionnement du foie affaibli avec, pour résultat, une augmentation des quantités de toxines circulant dans l’organisme.
Le glutathion a la capacité de se lier à des toxines comme les métaux lourds, les solvants et les pesticides et de les transformer en composés hydrosolubles qui seront éliminés dans la bile ou les urines.
Comment bénéficier à plein des effets du glutathion
Malgré son rôle essentiel, le glutathion est rarement prescrit par les médecins et peu commercialisé dans les pharmacies où l’on préfère vous proposer de la vitamine C ou de la vitamine E de synthèse comme antioxydants. Aux Etats-Unis, on en trouve partout, chez nous il faut chercher ! Est-ce parce que son utilisation régulière permettrait d’éviter bon nombre de pathologies dégénératives qui rapportent tant aux laboratoires pharmaceutiques ? Espérons qu’il ne s’agit pas de cela.
On en trouve heureusement sur Internet. Mais il y a tous les prix et tous les dosages. Pour un effet rapide et visible mais non nocif, il faut plutôt s’orienter vers une prise d’un 1g (maximum) par jour en deux fois et en gélules gastro résistantes. Ces dosages puissants sont finalement assez rares. Vous en trouverez en dosage 400 mg ici ou en dosage 500 mg ici.
Pour augmenter encore son assimilation, il vaut mieux prendre le glutathion en association avec de la vitamine C (naturelle), ce qui neutralise la charge du glutathion et le rend absorbable au niveau intestinal.
Par ailleurs, la régénération du glutathion (car il se régénère lui-même plusieurs fois avant de disparaître) dépend en effet d’enzymes spécifiques dont l’activité dépend elle-même de certains ions fournis par l’alimentation dont le sélénium.
Enfin, et cette dernière précision est essentielle, n’en prenez pas à tort et à travers (il ne s’agit pas d’éliminer tous les radicaux libres, ce qui serait aussi mauvais). De plus, le surdosage d’un antioxydant peut le rendre oxydant et vous donner le résultat inverse de celui escompté. Suivez donc bien les posologies journalières inscrites sur les flacons !
Au Vatican, on connaît ce secret…
Tout le monde se souvient de la papaye fermentée (excellent stimulant des défenses antioxydantes) que le Pr Montagnier avait offert au Pape en 2002 pour l’aider à lutter contre la maladie de Parkinson. Au vu du regain de forme du souverain pontif (que l’on donnait pourtant déjà mourant) dans les jours qui suivirent, regain qui se prolongea deux années de plus, il faut bien reconnaître que quelque chose s’est passé. Certains l’attribuent à ce traitement. Mais peu de gens savent qu’à la papaye fermentée, le prix Nobel avait ajouté sur sa prescription… du glutathion.
Dominique Vialard

(1)    La théorie de Denam Harmann fut publiée en 1956 dans The Journal of Gerontology.

(2)    Tout d’abord, certaines cellules spécialisées comme les globules blancs en synthétisent des dérivés destructeurs de bactéries, en particulier l’acide hypochloreux (le principe actif de l’eau de Javel). Ensuite, ces molécules oxydantes activent des facteurs de transcription des gènes impliqués dans la division cellulaire ou dans les défenses immunitaires .
(3)    Pour en savoir plus, je vous invite à aller sur le site de Nutranews, l’une des rares revues à avoir consacré au glutathion plusieurs articles fort documentés.  Vous y trouverez de nombreuses références scientifiques. Notamment des études animales et sur l’homme qui montrent des effets bénéfiques d’une supplémentation en GSH dans de nombreux cas, pour protéger du déclin lié à l’âge de la fonction immunitaire, pour stimuler la fonction des lymphocytes ou pour protéger des infections virales. (Natural Medicine Journal 3(12), February 2011).
(4)    On connaît déjà – comme je le rapporte avec Luc Montagnier dans « Les combats de la vie » (Ed. Le Livre de Poche) des cas de traitements bénéfiques par le glutathion, dans les cancer de l’ovaire ou du pancréas notamment. Son apport (comme celui de la SOD) est aussi très utile face aux dégâts collatéraux des chimiothérapies (les radiofibroses en particulier).
(5)    L’autisme selon le Pr Montagnier peut être amélioré par un traitement antioxydant associé à un traitement antibiotique de longue durée.

Pour avoir des infos sur le glutathion, envoyez un mail à francois.felix@cegetel.net

jeudi 4 avril 2013

Mes réussites "Lifewave sur mes chevaux", un témoignage de Françoise…


J'ai patché un poulain à l'automne dernier, il présentait des pertes de poils de façon très importante sur la base de l'encolure et le poitrail. On apercevait toute la peau, je n'ai pas voulu appeler le vétérinaire, et ai préférer tenter l'expérience de mes patchs. J'avoue qu'à l'époque je ne possédais pas la planche d’accu-pressure chevaux; cependant j'ai patché au senti, en apposant des patchs anti douleurs à l'avant du poitrail,  de chaque coté de la tête, + 1 aeon sur le garrot et 1 sur la croupe.Ceci en respectant (droite et gauche sur le poulain). Excellent résultat : aucune perte de poils le lendemain, et quelques jours après les poils repoussaient. On le perçoit très vite sur les chevaux.

2) Avec l'hiver très pluvieux, 2 de mes poulinières ont eu "la gale de boue" c'est une grosse croûte qui se forme derrière le pli du paturon, derrière le sabot du cheval, le pied gonfle, ainsi que le jambe jusqu'au jarret parfois, avec fièvre. Les miennes avaient tous ces symptômes sauf la fièvre; j'ai fais le test suivant:
l'une soignée avec le protocole classique, savonnage, séchage, et graisse à traire tous les jours, la seconde, uniquement avec des patchs anti douleurs. Agréable surprise! 3 jours après la jument patchée n'avait plus rien et ne boitait plus !!!, la jument soignée en protocole classique, = 8 jours de soins, avec tout le travail que cela suppose ...je connais bien ce problème et je sais qu'en 3 jours personne ne peut guérir une gale de boue!

J'ai donné des patchs "énergie" et "anti douleurs" à mon entraîneur (chevaux courses), il est tout à fait d'accord pour essayer, cependant je n'ai pas suffisamment suivi, et j'ignore s'il a pratiqué mon protocole, je vais reprendre contact avec lui et t'informerai des résultats.
Un grand merci pour ta disponibilité, ta gentillesse, tes conseils, et le sourire que tu fais passer dans ta voix.

(PS)J'oublie de te dire que récemment, j'ai eu un torticolis extrêmement douloureux, je ne tournais plus du tout la tête à gauche; j'ai appliqué un patch marron anti douleurs sur le cou, le blanc sous le pied du même coté, résultat: à peine 1 mn après, disparition de la douleur.
je t'embrasse,
Françoise 
 
Pour avoir des infos sur les patchs "LifeWave", envoyez un mail à francois.felix@cegetel.net


mercredi 20 mars 2013

Un message d'André Lillaz

Bonsoir à tous,,

 Je n'avais pas eu encore le temps de vous relater mon
expérience personnelle avec les patchs ce dimanche.
Je les connais bien, je sais qu'ils sont parfaitement
efficaces mais ils m'étonnent encore.
Mon fils voulait que je l'aide, ce dimanche à "tomber"
une coupe de bois pour dégager un coin de colline et
pour le stock de l'hiver prochain. On ne voulait pas
attendre plus pour le faire avant que les reptiles ne se
réveillent (même si on a chez nous ni crotales ni cobras,
c'est pas non plus nécessaire de les embêter !...)
Seulement voilà, au matin, tendinite ???, poussée de
polyarthrite ??? peu importe, j'avais tellement mal à
l'épaule que je ne pouvais même pas m'habiller et il
fallait que je me soulève le coude droit avec la main
gauche pour déjeuner, et c'était tres douloureux. Je me
voyais bien mal parti pour aider Christophe.
Et bien, c'est pourtant vrai, nous avons fait l'aprés-midi
tout ce que nous devions faire !...
Un patch Icewave marron de part et d'autre de l'épaule
(ça n'a pas été facile mais il fallait y arriver) et le blanc
au point VC17 et une paire de patchs Energy au oint Rein 3
(à l'intérieur derrière l'os de la cheville) et j'ai coupe le
bois (de gros arbres) dans la pente à travers les ronces,
débité  en partie sur place, descendu à la route et là ... il
fallait le remonter dans la remorque à double essieux
(pas la petit carriole !..) et bien je l'ai fait sans aucun
problème ni douleur ni faiblesse.
Voilà tout est là, vous pouvez en profitez aussi !..

Ha si encore une chose ... ce soir là j'ai fait l'économie d'un patch sommeil !....

Bonne soirée

André Lillaz
Pour avoir des infos sur les patchs "LifeWave", envoyez un mail à francois.felix@cegetel.net

Des images hallucinantes de la folie humaine


lundi 4 mars 2013

Prostate : arrêtez de manger frit !

Beignets, frites, poulets frits, poissons panés... Manger des aliments frits plus d'une fois par semaine augmenterait d'un tiers le risque decancer de la prostate. Telle est la conclusion d'une étude publiée dans le journal The Prostate. Les experts d'un centre médical spécialisé dans le cancer ont analysé les données de deux études rassemblant 1549 hommes atteints d'un cancer de la prostate et 1492 hommes d'âge similaire (35-74 ans) en bonne santé. Après les avoir interrogé sur leurs habitudes alimentaires, leurs poids, leurs antécédents familiaux de cancers... ils ont constaté que ceux mangeant au moins 1 fois par semaine des aliments frits avaient un risque 30 à 37% plus élevé d'avoir un cancer de la prostate que ceux en mangeant une fois par mois, ou moins. Les raisons de cette association à risque n'ont pas été clairement identifées par les chercheurs. Il se pourrait que ce soit lié au chauffage à haute température de l'huile de cuisson pouvant alors dégager des composants potentiellement cancérigènes dans les aliments frits (par exemple l'acrylamide).

vendredi 22 février 2013

Vous avez du cholestérol ?…


Contrairement aux idées reçues, vous avez droit aux 

oeufs ! Voici pourquoi il faut en manger, combien de 

fois par semaine et comment les choisir pour qu’ils 

soient vraiment bénéfiques à vos artères !

Pourquoi vous avez droit aux oeufs

Vous avez droit aux oeufs... Un, parce que "le cholestérol alimentaire influe peu sur le cholestérol du sang… qui est majoritairement fabriqué par le foie", explique Michel de Lorgeril, cardiologue, nutritionniste et chercheur au CNRS.
Et deux parce que l’œuf "s’il est produit de faon adéquate, est un véritable aliment miracle", poursuit le spécialiste. "Il apporte de très bonnes protéines animales car, il contient, dans la meilleure proportion, tous les acides aminés que notre organisme ne sait pas fabriquer et qui sont indispensables notamment au bon fonctionnement de notre système immunitaire.
Par ailleurs, c’est est une bonne source de phosphore et de lutéine dont on pense qu’elle pourrait aider à prévenir la DMLA (dégénérescence maculaire liée à l’âge).

Combien peut-on manger d’œufs par semaine ?


Qu’on ait du cholestérol ou non, "on n’est pas obligé d’en manger tous les jours… Mais il n’y a pas non plus de raison médicale de se restreindre. Trois, quatre par semaine est raisonnable", estime Michel de Lorgeril, cardiologue, nutritionniste et chercheur au CNRS. "On peut choisir, comme les Anglo-saxons, de consommer l’œuf au petit-déjeuner.
Les protéines rassasient et permettent de tenir jusqu’au déjeuner sans grignotage." A noter : pour éviter tout impact sur le cœur, mieux vaut consommer, bien sûr, l’œuf dans sa coquille (dur, poché ou à la coque) plutôt que frit dans une poêle…




Quel est le taux de cholestérol des œufs ?


Un œuf contient 200 à 300 mg de cholestérol, c’est vrai… mais ce n’est pas le plus important. Ce qu’il faut savoir c’est que le cholestérol, ce lipide (graisse) un peu particulier, est indispensable à notre organisme.
"C’est un composant essentiel de nos membranes cellulaires, c’est un précurseur dessels biliaires sans lesquels la digestion des graisses ne peut pas se faire, et deshormones qui interviennent dans toutes les fonctions corporelles", souligne Michel de Lorgeril, cardiologue, nutritionniste et chercheur au CNRS.




Pas d’augmentation des risques cardio-vasculaires


Depuis 1999 et l’analyse de deux études menées sur des professionnels de santé (51 519 médecins hommes et 121 700 infirmières) pendant 18 ans pour l’une et 8 ans pour l’autre, on sait que manger des œufs n’augmente pas le risque cardio-vasculaire, sauf si l’on estdiabétique (le doute persiste sans qu’on est d’explication plausible).
Une autre étude récente parue en 2008 menée sur 21 237 participants suivis pendant 20 ans a montré que, dans l’ensemble de la population la mortalité par maladie cardio-vasculaire s’élève légèrement à partir de 7 œufs par semaine. "Mais ce n’est pas une raison pour accuser les œufs. D’autres éléments du régime alimentaire de ces personnes peuvent aussi être en cause ", précise le Dr Lorgeril.




Les œufs contiennent des acides gras bénéfiques


Un œuf contient environ 7 g de lipides, c’est plus que 100 g de steak grillé (4 g), mais beaucoup moins qu’une entrecôte (12 g) ou qu’une côtelette d’agneau (16 g). Et puis surtout, la composition de ses lipides est bien plus intéressante.
En effet, confirme le Dr Michel de Lorgeril, "l’œuf ne contient pas d’acides gras trans, et présente un bon rapport omega 3 sur omega 6, lorsque la poule a été nourrie avec une alimentation naturelle, ou lorsque sa ration alimentaire a été enrichie en graines de lin qui apportent des omega 3."
Or on connaît désormais tous les bienfaits de ces graisses en matière de protectioncardio-vasculaire notamment….



Les œufs font-ils peur aux labos pharmaceutiques ?

Pour le Dr Michel de Lorgeril, cardiologue, le cholestérol n’est pas cet ennemi du cœur et des artères que l’industrie pharmaceutique a voulu nous présenter.
Dans l’athérosclérose, maladie provoquant l’obstruction des artères par caillots et donc l’asphyxie du cœur, "le cholestérol joue un rôle tout a fait marginal", affirme-t-il. "Il ne joue un rôle ni dans la formation des caillots, ni dans l’inflammation des parois des artères qui sont les deux mécanismes majeurs du risque d’infarctus. Tout au plus peut-il en effet s’agglutiner à l’intérieur de ces parois malades. Mais il n’entre que pour 1/3 dans la composition des plaques d’athérome."


Quels sont les vrais dangers des œufs ?


Le blanc d’œuf contient des protéines dont certaines ont un fort pouvoir allergisant. D’ailleurs l’allergie à l’œuf représente 30 % des allergies alimentaires. D’autre part, la consommation excessive d’œufs aurait une incidence sur la santé des os.
"L’acide attaque l’os, explique Michel de Lorgeril, cardiologue, nutritionniste et chercheur au CNRS. Un excès d’œufs, riches en acides gras, peut donc jouer sur le PH sanguin et fragiliser l’os."




Quels oeufs choisir ?


"Le plus important, explique Michel de Lorgeril, cardiologue, c’est l’alimentation de la poule. Si elle a été laissée libre de se nourrir elle-même de végétaux, de petits insectes ou si sa ration a comporté des graines de lin riches en omega 3, les œufs seront parfaitement équilibrés en protéines et en acides gras.
Si elle a été nourrie exclusivement de farine de maïs, même bio, la qualité nutritionnelle ne sera pas du tout la même. On aura trop d’oméga 6 et pas assez d’omega 3. Ce qui est mauvais pour la santé."
Ainsi les œufs portant le logo Bleu Blanc Cœur en France (ou les œufs Colombus en Belgique) sont-ils recommandés. Les termes "élevés en plein air" ou bio, garantissent le respect de l’animal mais pas la composition de leurs œufs.



Comment bien conserver les œufs ?


"L’œuf pose un problème de septicité, c’est un milieu de culture. Il est donc important de bien le conserver", souligne Michel de Lorgeril, cardiologue, nutritionniste et chercheur au CNRS. Le premier point sur lequel il convient d’être vigilant, c’est l’intégrité de la coquille. "Tant qu’elle est intacte, l’œuf se conserve bien. Si elle est endommagée, les germespeuvent pénétrer l’œuf et proliférer."
Second point important : la date de ponte. Non pas parce que l’œuf se conserve mal en soi, mais parce que "plus il est vieux, plus la coquille risque d’être abîmée. Il faudra donc le cuire longtemps c’est-à-dire le consommer dur ou l’utiliser pour la confection de gâteaux cuits à four chaud."

Sources

- Etude prospective sur la consommation d’œufs et le risque de maladie cardio-vasculaire chez les hommes et les femmes (A prospective study of egg consumption and risk of cardiovascular disease in men and women). JAMA 1999 ; 281(15) : 1387-94
- La consommation d’œufs et les maladies cardio-vasculaires, la mortalité (Egg consumption in relation to cardiovascular disease and mortality : the Physicians’ Health Study1,2,3); Luc Djoussé and J Michael GazianoAmerican Journal of Clinical Nutrition 2008, volume 87, n°4, p. 964-969.
Le 30/12/2008 - Isabelle Basset, journaliste santé
Mise à jour : Le 10/07/2011 - Aurélie Blaize, journaliste santé

Les œufs font partie des précurseurs du glutathion. C'est à dire qu'ils apportent aux cellules
certains éléments indispensables à la fabrication du glutathion. Le glutathion est l'anti-oxydant majeur de nos cellules. Les patchs glutathion "LifeWave" augmentent le taux de glutathion du corps de 300% en 24 heures. Toutes les études cliniques le confirment.

Pour avoir des infos sur les patchs "LifeWave", envoyez un mail à francois.felix@cegetel.net

lundi 18 février 2013

Les patchs LifeWave tombent à pic !


strikeachord inflammationJ’ai utilisé les patchs LifeWave Energy pour la première fois en salle de gym. Un ami m’en avait parlé et m’en a donné à essayer, ce que j’ai fait le lendemain. J’ai ressenti une nette augmentation de résistance durant ma séance d’exercice et le reste de la journée, mais la plus grosse surprise fut pour moi ma forme au réveil… à 6 h, je débordais d’énergie ! J’étais surpris. Je suis musicien indépendant.
Travailler à son compte signifie généralement avoir plus de travail à faire que ne le permet une journée de 24 heures. Avez-vous jamais rêvé d’avoir un double qui prenne la relève quand vous êtes fatigué ? Je vous suggère d’essayer le patch Lifewave Energy ! Je travaille dur actuellement à la promotion de mon nouveau simulateur de CD et j’ai besoin d’un maximum d’énergie. Le patch LifeWave ne pouvait pas mieux tomber. J’espère que vous aurez l’occasion de constater un jour les bienfaits que peut vous apporter ce patch.
- Mikial Robertson, Musicien professionnel
(compositeur, interprète, producteur, instructeur), Milford, NH
Pour avoir des infos sur les patchs "LifeWave", envoyez un mail à francois.felix@cegetel.net

mercredi 6 février 2013

Les 10 meilleurs témoignages de 2012…

Merci à tous ceux qui ont soumis ces merveilleux témoignages en 2012 ! Tous les témoignages qui nous sont envoyés nous inspirent profondément car ils sont empreints de passion, d'espoir et de gratitude ! Les 10 témoignages suivants ont été choisis comme les points forts de l'année (dans aucun ordre particulier). Nous attendons avec impatience de lire les témoignages que vous nous enverrez en 2013 ! 

"J'utilise les patchs LifeWave tous les jours maintenant et ils fonctionnent à merveille ! Il y a deux mois, je me suis blessé la cheville et j'ai alors tout essayé pour la guérir et pouvoir revenir sur la neige. Ma mère m'a dit d'essayer les patchs IceWave et au début, j'étais, je l'avoue, sceptique. Toutefois dès que ma maman a placé les patchs sur moi, j'ai ressenti instantanément une énorme différence. Une semaine après, ma cheville était presque revenue à la normale. Je pense que LifeWave est 100 fois plus efficace que tout autre traitement que j'avais essayé auparavant." Dannin Eccles, snowboarder professionnel 

"LifeWave m'aide à maintenir mes performances au meilleur niveau. Les patchs LifeWave ont changé la façon dont je m'entraîne et également ma vie.  Je suis fière de recommander officiellement la technologie LifeWave." Danielle Séroc, coureuse professionnelle 

"Avant LifeWave je n’ai pu perdre que 5 kilos en faisant du vélo et des exercices de gym. Depuis que j'utilise les patchs Energy Enhancer, j'arrive à parcourir une plus grande distance à vélo et mes séances de gym sont de plus en plus longues. Après 8 semaines de patchs, j'ai perdu environ 11,5 kilos de plus, et je me sens merveilleusement bien !” Robert Whitedistributeur LifeWaveCanada 

“Depuis le lycée, il m'est difficile de dormir d'un sommeil profond. À ma première apposition de Silent Nights, les résultats furent immédiats et incroyables ! Dès l'apposition du patch, j'ai ressenti une sensation de calme et il ne m'a pas fallu longtemps avant de m'endormir profondément. Je me suis réveillé le lendemain après 7 heures de sommeil environ, me sentant en meilleure forme qu'il ne m'était arrivé de me sentir depuis mon enfance. Silent Nights agit exactement comme il l'annonce et je lui en suis infiniment redevable !” Tony Tolbertdistributeur LifeWave, États-Unis 

“Ma femme s'est, par le passé, blessé la cheville gauche suite à un accident, ce qui la fait souffrir énormément, surtout quand elle se promène longtemps. Elle allait partir en vacances en Colombie où elle allait marcher en montagne, et se demandait si elle serait mesure de le faire. Nous avons acheté des patchs IceWave pour essayer pendant les vacances et l'ami qui nous a présenté LifeWave est resté médusé qu'elle ne ressente aucune douleur, les deux semaines qu'a duré notre voyage.” Claude Cote, distributeur LifeWave, Canada 

“Mes épaules étaient "bloquées" et, même après plusieurs semaines d'acuponcture, la douleur ne cessait pas. Quand je suis arrivée à une réunion LifeWave avec ma marraine, elle a apposé un patch marron sur mon cou et un blanc sur mon sternum. Deux minutes après, la douleur avait disparu ! Le lendemain matin, quand je me suis réveillée, je me suis sentie tellement bien que je savais qu'il me fallait en acheter d'autres. Je suis donc retournée à une autre réunion pour m'inscrire !” Karin Wikman, distributrice LifeWave 

“Pendant de nombreuses années, j'ai été incapable de dormir profondément. Depuis le début de ma carrière comme pompier à la ville de Paris, je me contentais de 4 à 5 heures de sommeil. Après avoir essayé les patchs Silent Nights, j'ai commencé à mieux dormir. Même après m'être réveillé, je suis capable de me rendormir très vite, et parfois je peux dormir pendant 7 à 8 heures, ce qui n'était pas arrivé depuis 20 ans ! Gilles Meteyer, distributeur LifeWave, France 

"J'avais l'habitude de me tourner et me retourner dans mon lit à peu près tous les soirs. Depuis que j'ai commencé à utiliser les patchs Silent Nights, toutes mes nuits sont exceptionnelles ! Je les utilise tous les soirs, et c'est merveilleux parce que je sais qu'aucune substance toxique ne passe dans mon corps. Puisqu'avec les patchs je dors suffisamment, je me réveille chaque matin en pleine forme. Je suis toujours prête à commencer ma journée du bon pied !" Elizabeth Jovanni Villanueva, distributrice LifeWave 

“Lorsque l'on m'a d'abord parlé des patchs LifeWave qui pouvaient "magiquement " modifier le système énergétique du corps, je n'y croyais pas vraiment. Il m'a fallu souffrir 8 mois d'une épine calcanéenne, et d'essayer par tous les moyens ou presque de remédier à la douleur avant de finalement céder, et que Miguel Molina du Danemark appose des patchs IceWave sur mon talon. À ma grande surprise la douleur a disparu, et j'ai commencé à taper du talon au sol afin de savoir si la douleur s'était déplacée, mais elle avait totalement disparu. Je me suis inscrit directement en tant que distributeur Gold.” Ejvind Jacobsen, distributeur LifeWave, Danemark 

“Je viens d'avoir 60 ans, alors je me suis dit que ce serait un exploit de partir en randonnée dans le Grand Canyon avec 3 autres dames. Aucune d'entre elles n'avait utilisé les patchs Energy auparavant. Non seulement nous avons marché d'un bon pas montées et descentes, mais nous nous sommes également rendu compte de l'efficacité incontestable des patchs Energy. Quand les patchs arrivaient en fin de cycle, c'était comme si un interrupteur avait été pressé. Et vice versa... quand nous appliquions un nouveau patch, nous parcourions comme des gazelles les pistes du canyon ! Nous sommes vraiment redevables aux patchs Energy de nous avoir aidées à rendre cette expérience si merveilleuse pour nous toutes.”- Anne L. Kurtz, distributrice LifeWave, États-Unis 

Pour avoir des infos sur les patchs "LifeWave", envoyez un mail à francois.felix@cegetel.net

mardi 5 février 2013

Voici LifeWave Theta Nutrition!

Une technologie de pointe dans le domaine de la santé mise au point par LifeWave 

LifeWave est enthousiaste à l’idée de lancer le Theta Nutrition— une toute nouvelle technologie dans le domaine de la nutrition mise au point par LifeWave. La gamme Theta Nutrition  est un système basé  sur des formules innovatrices qui fournissent les substances nutritives essentielles et fonctionnelles à votre organisme d’une manière ciblée et délicieuse . Il s’agit d’un concept innovateur qui produit des résultats que la plupart des personnes ressentent en seulement quelques minutes (sans l’usage de produits stimulants)  et qui se caractérisent par la qualité, la rapidité et l’efficacité de l’effet produit – trois qualités que l’on ne retrouve que rarement dans les suppléments disponibles de nos jours !  Les formules Theta  sont conçues avec des ingrédients naturels de première qualité et ne contiennent AUCUN sucres, saveurs, colorants où agents de conservation artificiels ! 

Vous n’avez plus le choix d’essayer cette gamme de protuit nutritif unique DÈS MAINTENANT, tant pour votre bien-être personnel que pour l’incroyable opportunité d’affaires qu’elle représente pour 2013 et le futur.  L’industrie mondiale de la nutrition et des suppléments nutritifs  constituent un marché de plus de 140 milliards de dollars annuellement et  qui  pourrait atteindre près de 205 milliards de dollars en 2017*. Aucun fournisseur ne vous permettra  cependant d’offrir à des gens des substances nutritives qui produisent des effets en seulement quelques minutes !  Mais comment cela est-il possible, direz-vous?  Et bien  les comprimés, jus et la plupart des suppléments offerts sur le marché ne possèdent pas de système de distribution efficace des substances nutritives dans l'organisme, ce qui  les empêche d’être entièrement absorbées par les cellules. Les effets recherchés  peuvent  ainsi prendre plusieurs mois à se manifester chez les personnes qui les consomment — ou parfois ne se manifestent jamais ! LifeWave a trouvé la solution à ce problème en mettant au point un système  breveté qui favorise l’absorption des substances nutritives qui active les super nutriments de nos formules Theta pour une action immédiate qui produit des bienfaits que la plupart des gens peuvent ressentir après seulement quelques minutes suivant l’absorption ! 

Développement du produit Theta Nutrition 

LifeWave privilégiera le lancement par étapes de nos produits nutritifs plutôt qu’un lancement global de la gamme. Surveillez la sortie de nos toutes nouvelles formules  Theta dès avril 2013 ! Dans les mois qui suivront, nous distribuerons de nouveaux produits sur le réseau ce qui nous permettra de mettre toutes notre énergie sur la promotion d’un nombre plus restreint de produits  tout en ayant de nouveaux produits à proposer à chaque fois.  Cela aidera également nos membres à maintenir un intérêt toujours constant pour nos nouveaux produits ce qui leur permettra de relancer chaque fois  leur entreprise ! 

Theta Nutrition Un système à deux composantes                                                         

Notre technologie Theta Nutrition est en fait un système à deux parties  -- Les sachets tubulaires de nutriments et l’activateur liquide. Voici de plus amples informations sur ces produits: 

Theta Activate 

Un système d’absorption de nutriments sous license qui  active les substances nutritives dans nos formules Theta, ce qui augmente leur bio-disponibilité pour un taux d’absorption cellulaire supérieur aux vitamines et minéraux conventionnels.  Theta Activate aide à obtenir des résultats plus rapidement et doit être ajouté à toutes les formule Theta pour des bénéfices-santé optimaux. 

Theta Mind 

Des suppléments nutritifs individuels conçus pour améliorer les fonctions cognitives supérieures** et aider à maintenir un niveau supérieur de concentration, d’attention et de mémoire**.  Theta Mind est disponible dans un délicieux mélange rafraîchissant à la saveur de pitaya. (Disponible aux États-Unis seulement) 

Facile à prendre quotidiennement!! 

Les formules Theta sont disponibles dans des  sachets tubulaires pratiques que vous devez mélanger avec  Theta Activate dans 16 onces d’eau. Mélangez, buvez, dégustez ! 

Pour avoir des infos sur les patchs "LifeWave", envoyez un mail à francois.felix@cegetel.net

Le secret de l'œuf à la coque…(un article de JM Dupuis)

Voici ma recette de l'œuf à la coque :

  • prenez un œuf frais bio ;
  • plongez-le dans une casserole d'eau froide. 99 % des recettes recommandent de mettre votre œuf directement dans l'eau bouillante mais c'est idiot : primo, comme chacun a pu l'observer, le choc thermique provoque une rupture de la coquille ; secundo, la température excessive (l'œuf coagule dès 80 °C) provoquera une cuisson trop violente du blanc. Donc, on met l'œuf dans l'eau froide.
  • mettez la casserole à chauffer sur feu moyen (7 sur plaque à induction ou vitrocéramique), et remuez régulièrement pour que l'œuf cuise de façon homogène ;
  • lorsque des bulles se forment au fond de la casserole, et qu'elles ne disparaissent plus lorsque vous tournez avec une cuillère (l'eau est alors à environ 85 °C), comptez 30 secondes et sortez l'œuf de l'eau ;
  • laissez l'œuf reposer quelques minutes pour qu'il termine sa cuisson et qu'il tiédisse ;
  • dès que vous pouvez le prendre sans vous brûler les doigts, mettez-le dans un coquetier, le gros bout vers le haut ;
  • Découpez le « chapeau » avec un couteau. Le fait de découper le chapeau du côté « gros » de l'œuf offre un plus grand périmètre pour y plonger ensuite votre petite cuillère. Vous limiterez, sans toutefois l'éliminer, le risque que l'œuf ne coule sur votre coquetier et votre assiette.

Délice : un œuf tiède et onctueux

L'objectif est un œuf à la coque uniformément onctueux : le blanc doit être coagulé sans être caoutchouteux, le jaune chaud sans être dur.

Les jours de fête, j'ajoute dans mon œuf, en même temps que le sel, une pointe de crème de truffe blanche (le tartuffo biancoitalien). Mais même sans cela, un bon œuf à la coque cuit à point est un suprême délice.

Avertissement

Notez-bien que ma recette ne garantit pas le succès à chaque fois. En ce qui me concerne, malgré des années d'expérience, je ne réussis mes œufs à la coque qu'environ deux fois sur trois.

Il est en fait excessivement difficile de juger, tant qu'on n'a pas ouvert l'œuf, de son aspect précis à l'intérieur. Ce sera donc à vous d'adapter le temps de cuisson pour parvenir au résultat escompté, selon :

  1. la taille de l'œuf : un petit œuf cuit plus vite qu'un gros ;
  2. la température de l'œuf : s'il sort du frigo et qu'il est donc presque glacé au centre, il met plus de temps à cuire ;
  3. la température de l'eau en début de cuisson.

Bon pour la santé

L'œuf à la coque est particulièrement bon pour la santé parce que la cuisson à basse température (moins de 100 °C) préserve les vertus des protéines. Les protéines de l'œuf sont si bien équilibrées qu'elles sont prises comme référence par la FAO (Food and Agriculture Organization, des Nations unies) et l'OMS (Organisation mondiale de la santé) : elles apportent en effet les acides aminés indispensables à un équilibre optimum pour couvrir les besoins de l'enfant et de l'adulte. Mais il ne faut pas provoquer de « glycation » des protéines par une cuisson excessive.

En outre, l'œuf contient, dans son jaune, une quantité élevée (5,5 g environ pour un œuf de 60 g) de lipides présentant une forte proportion d'acides gras polyinsaturés (15 % environ), dont les fameux oméga 3, que l'organisme ne peut synthétiser et dont l'apport est essentiel à son bon fonctionnement. 

Enfin, l'œuf contient divers minéraux et oligo-éléments, ainsi que de hautes teneurs en vitamines A, D et E, dont les fonctions dans le métabolisme calcique et les propriétés antioxydantes sont bénéfiques. Sans compter sa relative pauvreté calorique (environ 90 calories métabolisables dans un œuf de 60 g, dont 80 % dans le jaune), ce qui en fait un aliment de haute qualité, qui plus est à un prix modique.

Les diététiciens ont longtemps reproché à l'œuf d'être trop riche en cholestérol mais il s'agissait là d'une accusation injuste. Il est vrai que le jaune est riche en cholestérol (200 mg environ) mais, d'une part le cholestérol n'est pas le poison qu'on a dit, et son influence sur les maladies cardiovasculaires est aujourd'hui remise en question, d'autre part c'est de toutes façons le foie qui produit la presque totalité du cholestérol sanguin, à partir du glucose. L'apport alimentaire de cholestérol, quelle que soit son origine, est négligeable. La consommation d'œufs ne saurait donc être tenue pour responsable du taux de «mauvais» cholestérol dans le sang – si mauvais cholestérol il y a.

Vous pouvez donc manger sans problème 7 œufs par semaine, et plus encore si vous êtes en bonne santé.


Quelques précautions à prendre avec les œufs

Conservez-les au réfrigérateur. Evitez absolument de les laver, car l'eau enlève la cuticule qui protège l'œuf des contaminations bactériennes.

La limite recommandée de consommation de 28 jours. En cas de doute, le manger cuit.

Bon à savoir : pourquoi les œufs sont-ils vendus à la douzaine ?

Les œufs sont habituellement vendus par 12 pour ... préserver la paix des familles.

En effet, les œufs sont très difficiles à diviser en part égales. Donc, mieux vaut que chacun ait le même nombre d'œufs dans son assiette. Cela évite les disputes.

Que vous soyez célibataire, en couple, ou avec un, deux ou quatre enfants, avoir une barquette de douze œuf permet de faire des parts égales :

  • 12 fois un œuf.
  • 6 fois deux œufs
  • 4 fois trois œufs
  • 3 fois quatre œufs
  • 2 fois six œufs.
C'est donc avec une grande inquiétude que j'ai vu apparaître, ces derniers temps, des barquettes de dix œufs dans les rayons des magasins.

Le but des commerçants est assez évident : vendre dix œufs au lieu de douze permet de donner l'illusion au client que le prix est moins cher, surtout si celui-ci est mauvais en calcul mental et qu'il ne s'embarrasse pas de ramener le prix de ce qu'il achète à l'unité.

Le problème est qu'une barquette de dix œufs ennuiera toutes les familles, sauf celles qui ont trois enfants, et qui pourront faire deux fois cinq œufs. Mais il n'y a aucune autre combinaison possible !

A votre santé !

Voici ma recette de l'œuf à la coque :

  • prenez un œuf frais bio ;
  • plongez-le dans une casserole d'eau froide. 99 % des recettes recommandent de mettre votre œuf directement dans l'eau bouillante mais c'est idiot : primo, comme chacun a pu l'observer, le choc thermique provoque une rupture de la coquille ; secundo, la température excessive (l'œuf coagule dès 80 °C) provoquera une cuisson trop violente du blanc. Donc, on met l'œuf dans l'eau froide.
  • mettez la casserole à chauffer sur feu moyen (7 sur plaque à induction ou vitrocéramique), et remuez régulièrement pour que l'œuf cuise de façon homogène ;
  • lorsque des bulles se forment au fond de la casserole, et qu'elles ne disparaissent plus lorsque vous tournez avec une cuillère (l'eau est alors à environ 85 °C), comptez 30 secondes et sortez l'œuf de l'eau ;
  • laissez l'œuf reposer quelques minutes pour qu'il termine sa cuisson et qu'il tiédisse ;
  • dès que vous pouvez le prendre sans vous brûler les doigts, mettez-le dans un coquetier, le gros bout vers le haut ;
  • Découpez le « chapeau » avec un couteau. Le fait de découper le chapeau du côté « gros » de l'œuf offre un plus grand périmètre pour y plonger ensuite votre petite cuillère. Vous limiterez, sans toutefois l'éliminer, le risque que l'œuf ne coule sur votre coquetier et votre assiette.

Délice : un œuf tiède et onctueux

L'objectif est un œuf à la coque uniformément onctueux : le blanc doit être coagulé sans être caoutchouteux, le jaune chaud sans être dur.

Les jours de fête, j'ajoute dans mon œuf, en même temps que le sel, une pointe de crème de truffe blanche (le tartuffo biancoitalien). Mais même sans cela, un bon œuf à la coque cuit à point est un suprême délice.

Avertissement

Notez-bien que ma recette ne garantit pas le succès à chaque fois. En ce qui me concerne, malgré des années d'expérience, je ne réussis mes œufs à la coque qu'environ deux fois sur trois.

Il est en fait excessivement difficile de juger, tant qu'on n'a pas ouvert l'œuf, de son aspect précis à l'intérieur. Ce sera donc à vous d'adapter le temps de cuisson pour parvenir au résultat escompté, selon :

  1. la taille de l'œuf : un petit œuf cuit plus vite qu'un gros ;
  2. la température de l'œuf : s'il sort du frigo et qu'il est donc presque glacé au centre, il met plus de temps à cuire ;
  3. la température de l'eau en début de cuisson.

Bon pour la santé

L'œuf à la coque est particulièrement bon pour la santé parce que la cuisson à basse température (moins de 100 °C) préserve les vertus des protéines. Les protéines de l'œuf sont si bien équilibrées qu'elles sont prises comme référence par la FAO (Food and Agriculture Organization, des Nations unies) et l'OMS (Organisation mondiale de la santé) : elles apportent en effet les acides aminés indispensables à un équilibre optimum pour couvrir les besoins de l'enfant et de l'adulte. Mais il ne faut pas provoquer de « glycation » des protéines par une cuisson excessive.

En outre, l'œuf contient, dans son jaune, une quantité élevée (5,5 g environ pour un œuf de 60 g) de lipides présentant une forte proportion d'acides gras polyinsaturés (15 % environ), dont les fameux oméga 3, que l'organisme ne peut synthétiser et dont l'apport est essentiel à son bon fonctionnement. 

Enfin, l'œuf contient divers minéraux et oligo-éléments, ainsi que de hautes teneurs en vitamines A, D et E, dont les fonctions dans le métabolisme calcique et les propriétés antioxydantes sont bénéfiques. Sans compter sa relative pauvreté calorique (environ 90 calories métabolisables dans un œuf de 60 g, dont 80 % dans le jaune), ce qui en fait un aliment de haute qualité, qui plus est à un prix modique.

Les diététiciens ont longtemps reproché à l'œuf d'être trop riche en cholestérol mais il s'agissait là d'une accusation injuste. Il est vrai que le jaune est riche en cholestérol (200 mg environ) mais, d'une part le cholestérol n'est pas le poison qu'on a dit, et son influence sur les maladies cardiovasculaires est aujourd'hui remise en question, d'autre part c'est de toutes façons le foie qui produit la presque totalité du cholestérol sanguin, à partir du glucose. L'apport alimentaire de cholestérol, quelle que soit son origine, est négligeable. La consommation d'œufs ne saurait donc être tenue pour responsable du taux de «mauvais» cholestérol dans le sang – si mauvais cholestérol il y a.

Vous pouvez donc manger sans problème 7 œufs par semaine, et plus encore si vous êtes en bonne santé.

Quelques précautions à prendre avec les œufs

Conservez-les au réfrigérateur. Evitez absolument de les laver, car l'eau enlève la cuticule qui protège l'œuf des contaminations bactériennes.

La limite recommandée de consommation de 28 jours. En cas de doute, le manger cuit.

Bon à savoir : pourquoi les œufs sont-ils vendus à la douzaine ?

Les œufs sont habituellement vendus par 12 pour ... préserver la paix des familles.

En effet, les œufs sont très difficiles à diviser en part égales. Donc, mieux vaut que chacun ait le même nombre d'œufs dans son assiette. Cela évite les disputes.

Que vous soyez célibataire, en couple, ou avec un, deux ou quatre enfants, avoir une barquette de douze œuf permet de faire des parts égales :

  • 12 fois un œuf.
  • 6 fois deux œufs
  • 4 fois trois œufs
  • 3 fois quatre œufs
  • 2 fois six œufs.
C'est donc avec une grande inquiétude que j'ai vu apparaître, ces derniers temps, des barquettes de dix œufs dans les rayons des magasins.

Le but des commerçants est assez évident : vendre dix œufs au lieu de douze permet de donner l'illusion au client que le prix est moins cher, surtout si celui-ci est mauvais en calcul mental et qu'il ne s'embarrasse pas de ramener le prix de ce qu'il achète à l'unité.

Le problème est qu'une barquette de dix œufs ennuiera toutes les familles, sauf celles qui ont trois enfants, et qui pourront faire deux fois cinq œufs. Mais il n'y a aucune autre combinaison possible !

A votre santé !