mardi 18 septembre 2012

Génétique : la découverte qui vous concerne (un article de Jean-Marc Dupuis)


Jeudi dernier, le 6 septembre 2012, une série d'articles scientifiques de portée historique a été publiée dans les plus grandes revues scientifiques : Nature, Science, Genome Research, Genome Biology, Journal of Biological Chemistry

Ce sont les conclusions d'un immense projet de recherche, financé par le gouvernement américain, impliquant 440 scientifiques de 32 laboratoires, qui a duré neuf ans : le projet ENCODE, Encyclopedia elements of the human genome, qui visait à décrire de façon complète les fonctions de chaque élément du génome humain. 

Vous êtes concerné par les découvertes publiées. Mais comme il est difficile d'y comprendre quoi que ce soit en lisant la presse (et ne parlons pas de la télévision), voici de quoi y voir clair sur cette découverte « révolutionnaire » et ce que vous pouvez en attendre pour votre santé. 

Bref rappel sur l'ADN

Lorsque vous avez été conçu, vous n'étiez qu'une seule cellule, issue de la rencontre d'un spermatozoïde et d'un ovule. 

Mais cette cellule contenait un minuscule noyau. Dans ce noyau se trouvaient des filaments d'ADN, entortillés comme des pelotes, groupés en 46 chromosomes, eux-mêmes formant 23 paires. L'ADN de cette première cellule était hérité, pour moitié, du spermatozoïde de votre père, et pour l'autre moitié, de l'ovule de votre mère. Ce qui faisait de cette cellule une cellule neuve et totalement unique, avec un ADN unique. 

Cette cellule unique s'est d'abord divisée en deux cellules filles, chacune contenant une copie de l'ADN de la première cellule. Ces deux cellules se sont divisées à leur tour pour produire quatre cellules à la 50ème heure, chacune avec sa propre copie de l'ADN de la première cellule. A la 60ème heure, il y avait huit cellules, chacune contenant toujours une copie de l'ADN de la première cellule. 

A la division suivante, le futur bébé est constitué de 16 cellules. L’œuf a l’aspect d’une masse arrondie ressemblant à une mûre. Il migre alors vers l'utérus, où la division cellulaire va pouvoir commencer sérieusement. En effet, mieux vaut ne pas perdre de temps car, dans neuf mois, à la naissance, le petit devra compter... soixante-dix mille milliards de cellules ! Toutes issues de cette même première cellule. 

Les cellules ne peuvent pas se contenter de se diviser, en produisant toujours des cellules identiques. Le résultat ne serait qu'un amas informe. Pour que le bébé ait toutes ses fonctions vitales, il faut que les cellules se différencient, et qu'elles jouent chacune leur rôle : former le squelette, les muscles, les organes vitaux... 

Cela paraît compliqué et cela l'est en effet. Mais il se trouve que les filaments d'ADN qui sont dans les cellules contiennent toute l'information nécessaire pour diriger ce délicat processus. 

L'ADN est comme une mémoire d'ordinateur

Sur les filaments d'ADN de la première cellule se trouve en effet toute l'information nécessaire pour piloter le développement de votre organisme, jusqu'à la fin de votre vie. 

Cette information est contenue dans l'ADN sous une forme très proche de l'information gravée sur une mémoire d'ordinateur. L'ADN n'utilise pas un système d'information binaire mais un système quaternaire. Alors que les unités d'information dans un ordinateur sont le 0 et le 1, l'ADN est codé sous forme de T, A, C et G. Ces unités s'appellent des nucléotides. 

Sur une mémoire informatique, vous avez une suite de 0 et de 1, par exemple, 10011101011000111. Sur le filaments d'ADN, c'est une succession de T, A, C, et G, par exemple AATGGCTTGGC. Mais au fond, cela revient au même. 

Si vous deviez lire toute l'information stockée sur votre ADN, cela ferait un livre très indigeste avec des milliers de pages remplies de T, A, C et G, tout comme votre disque dur est rempli de 0 et de 1. Votre ADN contient en effet 3000 milliards de paires nucléotides. Ce livre a néanmoins été écrit, en 2003, par un groupe de chercheurs qui avaient passé 12 ans à décoder le génome humain

De l'ADN à l'organisme humain

Toute l'information nécessaire à construire un organisme est contenue dans l'ADN de la première cellule. 

Votre organisme contient plus de 200 types de cellules différentes, mais tout a commencé avec cette seule cellule. 

L'ADN de cette seule cellule contenait toute l'information dans son code, composé uniquement de T, A, C et G, pour construire 70 000 à 100 000 milliards de cellules, de 200 types différents. 

Certaines de ces cellules sont des cellules immunitaires, d'autres sont des cellules coniques qui sont dans votre œil pour voir, d'autres sont des cellules d'os, de muscle, de cerveau ou de moelle, d'autres encore sont des cellules du pancréas, des reins, d'ongle, de cœur, de sang, etc. 

Mais l'information de l'ADN permet aussi, tandis que l'organisme grandit et se développe, de créer une dizaines de « systèmes » vitaux. On les appelle des « systèmes » parce qu'ils sont composés de deux organes ou plus, fonctionnant ensemble. 

Par exemple, le système circulatoire comprend, entre autres, le cœur, le sang, et les vaisseaux sanguins. Le système digestif inclut, entre autres, la bouche, l'œsophage, l'estomac, les intestins. 

L'information de l'ADN est aussi utilisée pour fabriquer plus de trente organes dans le corps humain. 

Imaginez l'information nécessaire à créer vos os : 

Votre corps contient 206 os. Chacun d'eux a une forme et des caractéristiques uniques : si vous vouliez en faire un dessin en trois dimensions sur ordinateur, vous auriez, inscrites sur votre disque dur, toutes les informations concernant la forme de cet os, d'une façon très similaire à la façon dont elles sont inscrites sur votre ADN. 

Bien entendu, l'os n'est pas seulement défini par sa forme : votre ADN spécifie aussi l'itinéraire de tous les nerfs qui courent dans vos os ; il détermine la place de la moelle osseuse ; il fixe la place de chacune des cellules de cette moelle et son fonctionnement. Tout cela est écrit dans l'ADN de votre première cellule. 

Et nous avons à peine effleuré la surface de ce que fait l'ADN : il faudrait lire des bibliothèques entières d'anatomie humaine et de physiologie pour décrire toutes les fonctions connues de l'être humain, et chacune d'entre elles est codée dans l'ADN du minuscule noyau de votre première cellule. 

Les promesses de la génétique

Lorsque les chercheurs se sont aperçus du caractère universel des effets de l'ADN, ils ont tout de suite imaginé la chose suivante : puisque l'ADN détermine tout, il suffit, pour modifier le fonctionnement du corps, de modifier l'ADN de la personne. 

En particulier, quand on observe un problème de fonctionnement quelque part, donc une maladie, il devrait être possible de le corriger en changeant l'ADN ! 

Il n'en fallut pas plus pour que le monde entier se mettent à rêver d'un avenir radieux où l'être humain pourrait se contrôler lui-même en changeant son ADN comme on change les pièces d'une voiture. On inventa le terme de « thérapies géniques » comme s'il s'agissait d'une réalité alors qu'aucune thérapie génique n'existait, et on promit à la fois :

  • la fin des maladies ;

  • le remplacement de n'importe quel organe, que l'on pourrait faire pousser en laboratoire ;

  • l'éternelle jeunesse.
Ce n'était qu'une question de temps, et bien sûr de sous accordés à la recherche... et aux chercheurs. « Donnez-nous quelques milliards aujourd'hui, et demain nous vous apporterons le philtre de l'immortalité », promirent-ils, en quelque sorte. 

Le virus qui guérit

La chose paraissait d'autant plus à portée de la main que des chercheurs avaient trouvé un moyen remarquable de modifier l'ADN d'un très grand nombre de cellules. En effet, le problème de la thérapie génique n'est pas seulement de déterminer quel bout d'ADN pose problème dans votre code génétique. Encore faut-il être capable d'aller modifier effectivement votre ADN dans des milliards de cellules, dont la plupart se trouvent à l'intérieur de votre corps ! 

Eh bien la solution fut néanmoins trouvée. La lumineuse idée de ces chercheurs fut d'utiliser un virus. 

Les virus sont de petits agents infectieux capables de transférer leur propre matériel génétique dans les cellules humaines. De plus, ils sont capables de se propager très rapidement d'une cellule à l'autre, comme le savent toutes les personnes qui ont été mises à genou, puis au lit, par le virus de la grippe, par exemple. 

Les chercheurs réussirent à sélectionner un virus, à éliminer dans son ADN les séquences associées à la maladie qu'il transmettait, et à les remplacer par les séquences du gène thérapeutique (le gène qui guérit). Ainsi, en inoculant le virus à la personne malade, ce virus allait rapidement « infecter » des millions de cellules mais, au lieu de leur inoculer une maladie, il allait leur donner le bon gène qui allait leur permettre de guérir ! La seule précaution à prendre était évidemment que le virus reste dans l'organisme de la personne traitée, et qu'il ne lui prenne pas la mauvaise idée d'aller contaminer des milliers de personnes n'ayant rien demandé. Mais, apparemment, ce danger-là était, lui aussi, maîtrisé par les scientifiques. 

Avec de telles promesses, ils n'eurent pas de mal à convaincre les gouvernements et un grand nombre d'investisseurs privés, de leur verser des dizaines de milliards d'euros pour des recherche en thérapies géniques, faisant la fortune d'innombrables créateurs de « start-up » de « biotechnologie » dans la Silicon Valley et de laboratoires universitaires. 

Déconvenues

Malheureusement, plus les chercheurs progressèrent dans la recherche sur l'ADN, plus ils s'aperçurent que tout cela était en fait... effroyablement compliqué. 

Ils se mirent à investir dans des systèmes de plus en plus chers, notamment des supercalculateurs, mais chaque nouvelle découverte rendait le problème encore plus obscur. 

En effet, alors qu'on imaginait au départ que l'information de l'ADN pouvait se lire par sections, sur des gènes correspondant à une protéine particulière, et qu'il suffisait de remplacer un gène défectueux par un autre, on s'est vite aperçu que, en réalité : 

  • l'ADN n'était pas une simple « double hélice », mais pouvait prendre toutes sortes de formes variées (les formes B, A, Z, G...), beaucoup plus compliquées ;

  • la plupart des informations liées à des maladies ne se trouvaient pas sur les parties d'ADN codant des gènes, mais sur les sections intermédiaires, dont on pensait pourtant qu'elles ne servaient à rien ;

  • que les gènes, déterminant la fabrication des protéines, étaient tantôt actifs, tantôt inactifs, sans qu'on sache pourquoi (entre deux personnes porteuses du même gène d'une maladie, l'une peut être gravement malade, l'autre se porter comme un charme) ;

  • que les gènes interagissaient entre eux d'une façon si embrouillée qu'il est la plupart du temps impossible de retracer le rapport entre un gène et un trait particulier de la personne (ainsi par exemple, contrairement à ce que des millions d'écoliers ont appris, il se peut parfaitement que deux parents aux yeux bleus donnent naissance à un enfant aux yeux marrons).
Aujourd'hui, la totalité des thérapies géniques ont conduit à l'échec, et ce n'est pas faute d'avoir essayé. 

Une lumière d'espoir s'est allumée, en 1998-99, lorsqu'on parvint à traiter de très jeunes enfants atteints du SCID-X et souffrant d’une immunodéficience sévère (des "bébé bulles"). Mais elle s'est rapidement éteinte, dans des circonstances dramatiques. 

Ces enfants ont reçu un traitement de thérapie génique visant à rendre actifs leurs lymphocytes T déficients (des cellules immunitaires). La thérapie a consisté à transférer dans les cellules sanguines de ces bébés un gène restaurant la fonctionnalité du récepteur à l’interleukine-2. Dans un premier temps, l’entreprise s’est révélée être une réussite totale. La plupart des bébés ont pu sortir de leurs bulles et vivre normalement. Cependant, sur la vingtaine d'enfants traités, quatre ont rapidement développé une leucémie mortelle, dont on a pu montrer qu'elle était un effet secondaire direct imputable à la « thérapie » génique elle-même. 

En voulant corriger un problème sur l'ADN, on avait déclenché une maladie plus grave encore. 

Le résultat de ces expériences a néanmoins abouti à une conclusion certaine : que le mystère de l'ADN n'a pas encore été percé, et n'est pas prêt de l'être. Ce qui m'amène à la fameuse découverte publiée jeudi dernier : 

La grande nouveauté d'ENCODE

On imaginait jusqu'à présent que seule une petite partie de l'ADN humain servait à coder des gènes, et contenait donc des informations utiles pour le développement de l'organisme. Or, ce nouveau projet de recherche, ENCODE, a découvert qu'une très grande partie de l'ADN considéré comme inutile sert en fait à réguler l'action des gènes. Certains chercheurs parlent de 80 % de l'ADN qui serait porteur d'information, alors qu'on pensait jusqu'à présent que ce n'était que 1 à 3 %. 

En particulier, des parties de l'ADN très distantes d'un gène se retrouvent tout près lorsque l'ADN est roulée en pelote, et servent d'interrupteur pour le mettre en route ou l'arrêter. 

Cette fonction est évidemment aussi essentielle que le gène lui-même. Et le problème, c'est que, tenez-vous bien, les chercheurs ont recensé pas moins de... quatre millions d'interrupteurs sur l'ADN humain, alors qu'il ne contient que 20 000 gènes. 

Autrement dit, l'incroyable complexité de la génétique vient d'être multipliée à nouveau par un facteur 200 (au minimum). 

Pour faire bonne figure, les chercheurs en génétique annoncent que tout cela est formidable, que le projet ENCODE leur a apporté des tonnes de nouvelles informations pour mieux comprendre les maladies. 

Mais leurs capacités d'analyse sont en fait très rudement mises à l'épreuve : des moyens supplémentaires encore plus considérables sont nécessaires pour voir clair dans ce fatras d'informations de plus en plus complexes, sans aucune garantie que cela débouche sur des thérapies réelles. 

Les chercheurs en sont conscients, et peut-être est-ce une explication du fait que l'annonce de cette découverte ait été menée avec des investissements en communication dignes d'un film hollywoodien, certains étant surtout préoccupés de toucher l'opinion publique (qui n'y comprend rien), gage du fait que les hommes politiques (qui y comprennent encore moins) leur attribuent de nouveaux crédits de recherche. 

La conclusion pour vous

La conclusion pour vous, ami lecteur, est néanmoins extrêmement importante : 

Cette découverte de l'étude ENCODE indique que le mystère de l'ADN est encore très loin d'être percé. Mais cela ramène au premier plan de la recherche médicale moderne : la question du mode de vie. 

En effet, la découvert d'ENCODE prouve que vous aviez raison de vous préoccuper de ce que vous mangez, de vos émotions, de votre environnement, des bruits, des vibrations, des ondes qui vous traversent, de votre activité physique. 

En effet, votre ADN n'est pas un « simple » brin sur lesquels se trouvent des gènes qui décideraient pour vous ce que vous êtes, ce que vous devenez, vos maladies, et vous enfermeraient dans une sorte de prison génétique sur laquelle vous n'avez aucune prise. 

Le fait que le gène lui-même soit contrôlé par tant de facteurs externes, sur le brin d'ADN lui-même, prouve que c'est bel et bien vous qui êtes dans le fauteuil du pilote, en ce qui concerne votre santé

Car chacun des choix que vous faites au quotidien est susceptible d'influer de façon décisive sur cette délicate technologie que sont ces millions d'interrupteurs sur votre ADN, dont la complexité outrepassera peut-être toujours les capacités d'entendement de l'être humain. 

Si on ne peut pas, avant très longtemps, espérer intervenir sans risque dans les infimes détails de cette mécanique, cela veut dire qu'il faut plus que jamais vous concentrer maintenant sur les règles générales d'une bonne santé, d'une bonne vie. 

L'observation, l'expérience de milliers d'années a déjà permis à l'humanité de tirer de grandes règles sur ce qui est bon, ou mauvais, pour l'organisme, sur les habitudes qui risquent le plus de déclencher une maladie, et sur le mode de vie protecteur. 

Nous allons continuer à progresser dans ce domaine. 

Ces dernières années, la macro et la micro-nutrition ont fait des progrès considérables. On sait que de mauvais conseils nutritionnels (comme ceux qui sont aujourd'hui diffusés par mangerbouger.fr) aggravent le risque de tomber malade. 

Alors plus que jamais, réjouissons-nous : les nouveaux progrès des « super-nouvelles-technologies biomédicales » nous confirment que c'est bien la voie de la santé naturelle et du bon sens qui restent, pour quelques dizaines ou centaines d'années encore, le chemin le plus direct vers une vie meilleure et en meilleure santé. 

Vous avez maintenant la preuve qu'oublier toute cette sagesse en se disant que, bientôt, les nouvelles thérapies nous guériront de tout, n'a été qu'un rêve passager de scientifiques un peu trop enthousiastes. Et c'est bien ce que vous aviez toujours pensé et pratiqué, n'est-ce pas ? 


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Glutathione: The Miracle Antioxidant


Most people think vitamins A, C, and E when you start talking antioxidants, but there’s a major antioxidant that gets very little discussion: glutathione. It may sound like a mouthful, but don’t overlook this gem! Glutathione is the body’s master antioxidant; it plays a key role in your body’s natural cell detoxification by protecting cells from free radical damage and holding off the ravages of aging — including weight gain. Most people stop producing their own glutathione around age 40, which makes our bodies less able to fight off toxins. By taking measures to increase your body’s depleted supply of this wonder-antioxidant, you can once again reap all of its youthful benefits at age 40 and beyond!
Taking glutathione supplements orally aren’t effective at boosting this antioxidant, but there are some other ways that you can bump up those glutathione levels with supplementation or with your diet. Here are a few things to try:
  • LifeWave Nanotechnology Patches. Y-age Glutathione patches can be worn on the skin about an inch below your navel to help you boost your glutathione levels. You should wear a new patch every day to achieve good results. Visit http://lifewave.com/franfelix  to learn more.
  • Intravenously. If you have more serious health concerns, such as leaky gut syndrome, or if your levels are especially low, your doctor may consider IV replacement of glutathione.
  • Food. Some foods are remarkably good at boosting glutathione levels, including sweet potatoes, walnuts, asparagus, broccoli, and avocados. Citrus fruits, strawberries, and watermelon are also good choices for helping increase the amount of glutathione your body produces.
When it comes to being Sexy Forever, supplementation is key. After all, your body is a machine. By keeping it clean, supplying it with high-quality oil and fuel, and making sure everything is running smoothly under the hood, you can ensure that it will be enjoyable, high-functioning, and beautiful for many years to come!

Révélation sur les traitements anti-diabéte

Vous êtes diabétique ? Vous connaissez un diabétique ? Voici une information à lire de toute urgence avant de prendre votre prochaine dose de médicaments. 

Gardez bien en tête qu'un bon médicament contre le diabète, ça n'existe pas. Au mieux, ils sont désagréables, au pire, ils tuent. 

Nouveau = mieux ?

Méfiez-vous de ceux qui vous disent que parce que c'est nouveau, c'est forcément mieux. Cette règle est sans doute valable pour les voitures et les téléphones portables. Mais en matière de médicaments, rien n'est moins sûr. La preuve, le tout dernier médicament contre le diabète qui vient d'être mis sur le marché pourrait être le plus dangereux d'entre tous. 

Il s'agit du Victoza, que notre fidèle sécurité sociale s'est empressée de rembourser. 

Les médias ont déjà dénoncé l'inefficacité et les effets dangereux du Victoza. (1) On se demande d'ailleurs pourquoi le fabricant du Victoza, Novo Nordirsk, n'a toujours pas reçu l'ordre de retirer ce médicament du marché. 

Au contraire, vous serez peut-être surpris d'apprendre qu'au premier trimestre, les ventes du Victoza ont bondi de 81 % ! Tant mieux pour Novo Nordisk, tant pis pour les diabétiques... 

Officiellement, Novo Nordisk prétend bien sûr que le Victoza est sans risques, mais ce médicament est connu pour provoquer des inflammations du pancréas, des réactions allergiques, des maux de crâne (très fréquents), des vomissements (très fréquents également), mais surtout le cancer de la thyroïde.

Vous ne le lirez pas cette inquiétante information sur la notice en français. Apparemment, le fabricant est parvenu à convaincre les régulateurs européens de ne pas devoir y écrire le mot fatal de cancer. La notice n'évoque donc que « l'augmentation du taux de calcitonine », une information que très peu de non-médecins sont capables de décrypter.

Mais en réalité, l'augmentation du taux de calcitonine est un signe très connu du cancer médullaire de la thyroïde ! Et pour les personnes qui parlent anglais, la lecture du site Internet officiel du Victoza (http://www.victoza.com/#isis) révèle en toute lettre que le Victoza a provoqué le cancer de la thyroïde chez des animaux de laboratoires, mais que cet effet n'est pas certain chez les êtres humains. Et pour cause, qui oserait participer à des essais cliniques pour s'en assurer ??? 

Une association de consommateurs américains annonce avoir recensé 200 cas d'inflammations aiguës du pancréas liés au Victoza dans les 17 mois qui ont suivi sa mise sur le marché. Sachant que dans 90 % des cas, les patients ne signalent pas les effets secondaires subis, le nombre de cas pourrait être en réalité dix fois supérieur. 

Plusieurs associations de consommateurs ont lancé des pétitions visant l'interdiction du Victoza, mais leurs chances de succès sont minces. (2) 

Vous pouvez chercher un médicament moins dangereux que le Victoza, mais je suis d'avis que le meilleur moyen de vous sortir de tout ça n'est pas à chercher à la pharmacie. Oubliez l'idée fausse et dangereuse que ce type de maladies se traite en gobant des pilules. 

Ce que votre corps réclame pour s'auto-guérir du diabète

  • 1. arrêtez le sucre et limitez au maximum les glucides, comme les pâtes, le riz et les pommes de terre. Les glucides provoquent des pics de taux du sucre sanguin suivis de creux (hypoglycémie). Ce sont les principaux responsables des diabètes de type 2 ;

  • 2. perdez du poids : l'obésité est intimement liée au diabète. Vous devez absolument vous débarrasser de vos kilos en trop si vous voulez combattre efficacement le diabète. C'est un défi considérable pour certaines personnes et un accompagnement médical est souvent indispensable, mais c'est une question de vie ou de mort ;

  • 3. cherchez des solutions naturelles pour réguler votre taux de sucre sanguin. Par exemple, la vitamine D stimule l'activité du pancréas qui produit l'insuline, l'hormone qui fait diminuer le taux de sucre sanguin. Il est donc important de soigner votre pancréas afin qu'il puisse remplir ses fonctions ;

  • 4. remuez vous : pas la peine de vous inscrire au club de fitness de votre quartier et surtout, n'essayez de battre le record du marathon, c'est inutile et même dangereux. Simplement, prenez l'air, allez vous promener ou inscrivez-vous à des cours de danse.
Je vous assure que les diabétiques de type 2 qui suivent ces conseils simples constatent de vraies améliorations et peuvent diminuer les prises de médicaments. Accompagnés par un médecin compétent, certains peuvent même les arrêter complètement, y compris les injections d'insuline.

Suivez leur exemple et la prochaine fois que j'aurai message urgent sur les médicaments contre le diabète – oui, car il y a aura une prochaine fois, et une suivante, et une encore après – vous n'aurez même plus à lire mon message. 


Un article de Jean-Marc Dupuis
Sources : 

(1) http://www.francesoir.fr/quinze-medicaments-dangereux-ou-inefficaces-63202.html 

(2) http://www.citizen.org/pressroom/pressroomredirect.cfm?ID=3586 

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mardi 28 août 2012

Témoignage d'Olivier sur les patchs anti-douleurs…



Je souhaiterai vous faire partager ma joie concernant l’utilisation des patchs Lifewave.
Je dois recevoir une greffe d’os le mois prochain, suite à la formation d’un trou (gros comme un petit pois) dans la mâchoire supérieure au dessus de mon incisive droite (cause probable : stress intense et de longue durée)

Hier matin, j’ai subi une intervention chez mon chirurgien dentiste qui a consisté à m’enlever le frein entre la lèvre supérieure et la gencive… Pour ce faire il a dû gratter l’os de la mâchoire pendant environ 10 mn. Dés l’intervention terminée, il m’a immédiatement donné un dafalgan 1gr. Mais une heure après, la douleur (sensation de brûlure de cigarette) devenait difficile à supporter !
C’est alors que je me suis dit : avec un cachet avoir une telle douleur, qu’est-ce que ça va être dans 4 heures, moment où je pourrai en reprendre un autre !?

Puis l’idée m’est venue de poser une paire de patchs ICEWAVE : le marron sur ma moustache, le blanc sur l’arête de mon nez à environ 5 cm.
Résultat : 5 mn après la douleur avait disparue de 50%, et 15 mn après : PLUS AUCUNE DOULEUR vous imaginez ???

J’étais tellement content que je me suis pris en photo, même si je ressemble à un clown, et encore les patchs sont partiellement collés !

PRECISION IMPORTANTE : je les ai garder 14 h 00 et aujourd’hui je n’ai RIEN mis du tout ni pris de cachets , c’est pas beau ?

Merci Olivier !
Le Lamentin le 21 aout 2012  http://lifewave.com/franfelix

vendredi 24 août 2012

Gary Taubes : les recommandations nutritionnelles rendent les gens malades

Voici un article très intéressant ci-dessous de Guy Taubes.
Oui, surtout tous les sucres raffinés sont mauvais pour le corps et font grossir (Sucre blanc et complet, sirop de glucose, et céréales raffinées). Une des causes importantes des problème de poids : les glucides surtout ceux à index glycémique élevé.
 
Le sirop de glucose est un sirop de maïs à haute teneur en sucre. Toujours OGM, si cela n'est pas mentionné sans OGM.
Selon sa composition, il pourra avoir plusieurs utilisations, les plus courantes pour nous étant les sodas ou autres boissons sucrées et les pâtisseries (gâteaux) industriels.
On connaît le danger du sirop de glucose, globalement, il détruit le pancréas et favorise le diabète de type 2. On remarque une augmentation de ce type de diabète chez les jeunes (alors qu'il n'apparaît que vers 50 / 55 ans) et donc la présence de ses complications de plus en plus tôt.

D'après de récentes études, le sucre au sens large serait aussi responsable de l'Alzheimer (Diabète de type 3)
Le sirop de glucose est utilisé comme agent de texture, en effet il n'a pas un goût sucré satisfaisant malgré son titre de "sirop".

Je vous laisse imaginer l'impact sur le poids mais aussi sur le comportement alimentaire.

 
Le glucose a aussi des conséquences plus "silencieuses" comme l'augmentation des triglycérides dues à la consommation de sucre.
Lors de vos courses, prenez le temps de regarder les étiquettes, surtout sur les gâteaux et les autres produits de pâtisserie ou les laitages sucrés (à base ou non de fruits).
L'étiquetage est obligatoire, et devra présenter par ordre décroissant (le plus présent en premier et le moins présent en dernier) la liste des ingrédients.


Si le sirop de glucose / fructose apparaît dans les premiers, le produit est à éviter. L'idéal serait de ne pas en consommer pour préserver notre santé.

Pensez à consommer chaque jour au moins 6 à 8 c à soupe de bonnes huiles vierges premières pression à froid, crues (non chauffées) dans votre alimentation. Cela est essentiel pour nourrir votre cerveau et les membranes de vos 70 à 100 mille milliards de cellules. (60% du poids du cerveau et des membranes de vos cellules sont constituées de bonnes graisses)
Pensez à manger régulièrement des oléagineux bio (amandes, noix du Brésil ( 1 noix par jour vous apporte votre sélénium) noisettes, pistaches, cajou, macadamia......)

Eliminer au max l'huile de palme mauvaise pour l'environnement et la santé surtout si elle n'est pas vierge première pression à froid. Eliminez dans la mesure du possible toutes huiles chauffées et raffinées.(Le rafffinage se fait en présence de métaux lourds)
 
Voici l'article de Gary Taubes :

Gary Taubes : les recommandations nutritionnelles rendent les gens malades

Gary Taubes est le plus célèbre journaliste scientifique américain. Ses livres ont été récompensés par plusieurs prix.
Son dernier livre s'appelle FAT- Pourquoi on grossit. Il est considéré par de nombreux spécialistes comme le livre de nutrition le plus important de ces dernières décennies,
Selon Gary Taubes, la théorie sur laquelle est basée la gestion du poids (moins de calories, moins de graisses, plus d'exercice) est fondée sur de la mauvaise science, et les messages nutritionnels actuels font fausse route.
Sa démonstration s'appuie sur près de deux siècles d'histoire des sciences passionnante pour terminer par une conclusion stupéfiante, voire choquante pour certains, sur les vraies raisons du surpoids. Entretien avec un auteur qui dérange.


Dans FAT - Pourquoi on grossit, tu dis que le conseil de suivre un régime pauvre en graisses est une fumisterie.

Gary Taubes. C'est exact. Lorsque tu regardes attentivement les données, il n'y a aucune preuve réelle que cette approche fonctionne. Manger des aliments peu gras ne va pas te faire perdre du poids à long terme. Tu peux perdre un peu de poids au début, mais au bout de six mois, tu commences à le reprendre. Pourtant, depuis 40 ans on a dit aux Américains de manger moins de graisses et de calories. Le résultat c'est que nous n'avons jamais été aussi gros et autant malades du diabète.

Mais les aliments gras ne sont-ils pas mauvais pour le cœur et synonymes de cholestérol élevé ?

C'est tout aussi faux. C'est à cause de ce type d'affirmations que je me suis mis à écrire sur ce sujet. Je faisais des recherches sur les origines de l'épidémie d'obésité, quand je suis tombé sur les résultats de cinq essais cliniques qui essayaient de prouver que si nous suivons un régime pauvre en graisses avec moins de calories, alors les analyses de sang seront meilleures, les facteurs de risque baisseront et on maigrira.

Qu'est-il arrivé?

Les personnes qui suivaient un régime riche en matières grasses et qui mangeaient globalement plus ont perdu plus de poids, ont connu une baisse de la pression artérielle et des triglycérides et leur taux de bon cholestérol a augmenté. Ce que ces essais ont vraiment montré, c'est que si nous disons aux gens de faire précisément ce qui selon les nutritionnistes devrait les tuer, eh bien ils perdent du poids et leurs facteurs de risque cardiovasculaire s'améliorent.

Comment est-on arrivé à conseiller des régimes qui rendent les gens malades ?

Nous avons été conduits dans deux voies de garage. La première est l'hypothèse calories consommées/calories dépensées. Il semble logique de penser que l'on a besoin de brûler ce qu'on a mangé - cela ressemble à une loi de la physique. Si vous mangez plus que ce que vous dépensez, vous allez grossir. Mais c'est tout simplement faux. C'est comme si on disait que le soleil tourne autour de la Terre.

Et l'autre voie?

On nous dit que les graisses nous font grossir et nous font risquer l'infarctus. Cette affirmation est basée sur de la mauvaise science. Certains personnages influents dans le monde de la nutrition dans les années 1950 et début des années 60 en sont venus à croire cela, mais ce n'était fondé sur aucune recherche significative. Lorsque qu'ils ont conduit des études, ils n'ont pas réussi à le confirmer.

Mais alors, pourquoi cette école de pensée a survécu ?

En partie parce que la recherche coûte énormément d'argent ! Si les autorités sanitaires demandent aux organismes de recherche comme les NIH aux Etats-Unis ou l'Inserm en France de dépenser des milliards pour tester l'hypothèse qu'un régime alimentaire riche en graisses conduit à l'infarctus, il vaut mieux que les résultats soient positifs. Des résultats positifs permettent de recevoir d'autres financements. Les résultats négatifs sont importants en science, mais en politique c'est une autre histoire. Il ya un problème fondamental dans la façon dont nous abordons la science de la santé publique.
Donc ce concept non prouvé est devenu un fait

Une fois que tout le travail a été fait, que l'argent a été dépensé, les scientifiques avaient besoin de nous convaincre qu'ils avaient raison. Rapidement, cette idée a acquis une vie qui lui était propre. Article après article on nous a expliqué comment les matières grasses tuent les gens. A coups de manchettes dans tous les grands journaux. Après un certain temps nous l'avons cru parce qu'il semblait fou de ne pas le croire.

Si leur théorie était fausse, pourquoi devenons-nous gras ?

Nous grossissons parce que nous déréglons notre tissu adipeux. Ce sont des nutriments particuliers de l'alimentation qui en sont la cause.

Les glucides ?

Oui, les sucres sont en cause. Une fois que les gens ont cru que les graisses nous rendaient malades, la pensée dominante, c'est qu'au lieu de manger des graisses nous devrions manger un paquet de glucides. Donc, la base de la pyramide alimentaire - ou en France le socle des recommandations du Programme national nutrition santé - est bien connue : manger tous les jours des féculents - pâtes, pain, pommes de terre. Fait intéressant, jusqu'aux années 1960, l'opinion dominante en science et en médecine, mais aussi dans la population, c'est que les glucides faisaient grossir. C'est ce que pensait ma mère. Il y a un titre d'un article d'un journal médical des années 1960 que j'aime, c'est que "Toutes les femmes savent que les glucides font grossir." Ce qui est drôle, c'est qu'ils avaient raison.Ces sucres nous engraissent. Et dans les années 1960, au moment même où on comprenait pourquoi les glucides étaient mauvais pour la santé, nous avons jeté le paradigme et l'avons remplacé par l'idée que les féculents sont des aliments diététiques et sains, bons pour la ligne et le cœur. Pas étonnant que cela corresponde au début de l'épidémie d'obésité.

Comment agissent les glucides ?

Tout revient à l'insuline. L'insuline est une hormone qui agit pour vous faire stocker des calories sous forme de graisse dans les tissus adipeux. L'insuline, de concert avec le sucre sanguin plus élevé, c'est ce qui fait qu'une cellule adipeuse grossit. Et plus les glucides sont raffinés (sucre, sirop de glucose....), plus ils sont faciles à digérer, plus la nourriture est sucrée, plus l'insuline s'élève.

Pourquoi avons-nous tant envie de glucides ?

Ceci est encore une hypothèse. Lorsque tu manges des glucides, le taux de sucre sanguin augmente. L'insuline est sécrétée, et ton corps dit à tes cellules de brûler ce sucre sanguin en priorité, de stocker des graisses pour plus tard. Quand l'insuline retombe, on devrait libérer les graisses stockées et les brûler. Mais si l'insuline reste élevée, ce qui arrive quand on mange beaucoup de ces aliments riches en glucides - les sucreries et les boissons sucrées, sirop de glucose en particulier - le corps continue à dire aux muscles de brûler des glucides, même si on n'en a plus à brûler. Donc, on a envie d'en reprendre. C'est comme si il n'y avait qu'un seul nutriment que votre corps puisse utiliser, ou veuille utiliser, comme carburant - les glucides.

Pourquoi ai-je plus envie de Coca-Cola et de cookies que de pommes de terre?

Le sucre est particulier. Le sucre active dans le cerveau les mêmes circuits que ceux de la dépendance à la drogue.

Les enfants adorent les glucides. Est-ce qu'on les programme pour être obèses en les laissant répondre à leurs envies ?

Ca me fait peur de voir à quel point les enfants sont obsédés par les glucides. Dans le livre, je parle d'un cercle vicieux : les femmes sont de plus en plus plus lourdes pendant la grossesse, si elles sont obèses ou diabétiques, qu'elles développent un diabète gestationnel, elles donnent naissance à des enfants qui sont plus susceptibles de devenir obèses ou diabétiques une fois adultes. Génération après génération. Ce qui entraîne des taux d'insuline plus élevés. Donc les organismes apprennent à considérer les glucides comme les meilleurs nutriments à brûler une grande partie de la journée. Sommes-nous en train de donner naissance à des enfants qui, d'une génération à l'autre, auront toujours besoin de plus de glucides, ce qui les condamnerait à des problèmes de santé plus tard ? C'est possible.

Est-ce que tu limites la consommation de tes propres enfants en sucres et glucides ?

J'essaie de leur éviter de manger du sucre sans être un fanatique et de limiter les sucres raffinés, les glucides et les féculents. Je n'aime pas quand les parents des enfants en surpoids les forcent à courir ou à manger moins. Ils ne peuvent pas courir parce qu'ils stockent l'énergie sous forme de graisse. Ils ont faim parce qu'ils mangent les mauvais aliments. Les efforts pour les faire maigrir en les affamant ou en leur faisant faire de l'exercice sont mal venus. Le problème n'est pas qu'ils sont sédentaires. C'est un effet secondaire de la dérégulation de leur graisse.

Tout le monde doit éviter les glucides ?

Tout le monde ne doit pas suivre le régime Atkins, ce n'est pas mon message. Je veux faire passer l'idée simple que certains aliments font grossir et d'autres pas. La quantité et la qualité des glucides, c'est ce qui fait que le repas fait grossir ou pas. Les aliments sans glucides ne font pas grossir, de sorte qu'on peut en manger autant qu'on le souhaite, c'est le principe d'Atkins. On n'a pas besoin de manger plus que de raison, mais on n'a pas à s'inquiéter de prendre du poids. Les aliments sans glucides ne font tout simplement pas grossir.

Quels sont ces aliments ?

Eh bien, les aliments qui contiennent peu de glucides ou dans lesquels les glucides sont liés aux fibres et qui sont donc digérés relativement lentement. Le premier groupe est politiquement incorrect, parce que ce groupe comprend pratiquement tous les produits d'origine animale - viande, poisson, volaille, œufs, fromage, beurre. Le deuxième groupe est celui des légumes verts comme le brocoli, les épinards, le chou frisé...

Comment peut-on améliorer immédiatement son alimentation ?

En arrêtant de manger des glucides facilement digestibles et des sucres. Là encore, ces aliments font grossir, et si on ne les mange pas, on sera en meilleure santé. Et ce sont presque certainement les mêmes qui favorisent les maladies cardiaques, le diabète, et je dirais même le cancer et l'Alzheimer. Je rêve que dans cinq ans quand quelqu'un en surpoids ira voir son médecin, celui-ci au lieu de lui dire « Mangez moins et faites plus d'exercice », lui dise « Ces aliments font grossir :  les aliments riches en glucides et les sucreries. N'en mangez plus. »
C'est terrible de se dire qu'on n'a même plus droit à un petit gâteau !

J'ai écrit ce livre aussi bien pour les gens qui s'inquiètent de leur poids que pour les médecins qui traitent les personnes obèses. Si tu veux perdre 3 ou 4 kilos, peut-être que tu dois simplement renoncer au sucre, ou manger des pâtes moins souvent. Pour quelqu'un en surpoids de 30 kilos qui veut être aussi mince que possible, il faut faire plus. C'est une question de dose. Les changements à accomplir dépendent de votre corps et de l'ampleur du problème. Pour quelqu'un qui pèse 130 kilos, la modération ne fera probablement pas beaucoup de différence. Pour quelqu'un qui a pris 10 kilos depuis la fin des études, peut-être que la simple modération est la réponse et le petit gâteau occasionnel n'est pas un problème.

Tu écris que l'exercice ne fait pas maigrir. Pourquoi alors les coureurs à pied sont-ils si maigres ?

Nous pensons que c'est la course qui les a rendus maigres, mais ce raisonnement n'est pas bon. Les gens plus maigres courent mieux que les autres, et ils sont donc plus susceptibles de courir. La raison pour laquelle les gens maigres sont de bons coureurs c'est parce que leurs corps veut brûler leur énergie, plutôt que la stocker sous forme de calories. L'énergie les pousse à devenir coureurs.

Tout le monde ne peut pas faire de course à pied ?

Non, contrairement à ce qu'on croit, tu ne peux pas prendre une personne sédentaire et l'obliger à faire de l'exercice et s'attendre à ce que la graisse fonde et que cette personne soit mince. Tu ne peux pas affamer une personne obèse, pas plus que tu ne peux transformer un basset en lévrier en le forçant à courir. Tu te retrouveras avec un basset épuisé et affamé. Et au fil du temps, s'il a accès à la nourriture, ce basset reprendra du poids parce que c'est sa nature. La même chose est vraie pour ceux d'entre nous qui sont gras, mais cette nature dépend de l'environnement alimentaire - un environnement riche en glucides.

Que faut-il faire?

Nous n'avons pas à manger les aliments qui favorisent la graisse. Dans les aliments allégés on a remplacé la graisse par des glucides. Donc, si tu manges des céréales avec du lait écrémé et des yaourts zéro pour cent, tu manges d'une manière qui favorise l'adiposité. Si tu supprimes les glucides, tu peux être considérablement plus mince.
J'imagine que tu as supprimé les glucides. Rien ne te manque ?

Les pâtes. Et le jus d'orange le matin. Heureusement, je suis un carnivore, donc je suis heureux de manger de la viande tout le temps. Non pas qu'il faille manger de la viande pour ne pas manger de glucides. Je mange des légumes verts parce que ma mère m'a appris à les manger, et je les aime. Je mange probablement plus de légumes qu'avant parce que je les mange à la place des féculents. Je mange beaucoup d'œufs, beaucoup de bœuf et de poulet.

Est-ce qu'on a moins envie de sucreries quand on arrête d'en manger ?

Ce goût pour le sucré disparaît. C'est comme toute dépendance. Quand j'étais plus jeune je fumais - et je ne pouvais pas imaginer la vie sans cigarettes. Mais quand j'ai arrêté, l'envie de fumer a duré environ trois semaines. Puis il y a eu deux années au cours desquelles les cigarettes m'ont simplement manqué, je devais toujours être sur mes gardes pour ne pas me remettre à fumer. Mais après un certain temps, je ne pouvais pas imaginer revenir en arrière, et j'ai trouvé difficile d'imaginer pourquoi j'avais jamais fumé. C'est vrai de la nicotine, des mauvaises relations et des glucides.

Quels ont été les résultats pour toi ?

Les histoires personnelles comme la miennne sont anecdotiques, elles n'ont pas de valeur scientifique. Mais j'ai d'abord essayé ce régime comme on tente une expérience il ya 10 ans - un économiste du MIT (Massachusetts Institute of Technology) m'avait suggéré d'essayer - et j'ai continué. Je pèse 4 kilos de moins, mais je gagnais un kilo par an à l'époque, donc je pense que je pèse 12 à 13 kilos de moins que ce que je pèserais si je ne suivais pas ce régime. J'ai plus d'énergie. J'ai besoin de moins de sommeil. Ma peau est de meilleure qulaité. Je pourrais continuer à énumérer les bénéfices, mais cela ressemble à une réclame, ce qui est précisément ce que j'essaie d'éviter.

Ta conclusion ?

Le message de ce livre, c'est qu'il s'agit de science, et lorsqu'on étudie les données scientifiques sans a priori, les choses sont claires.

http://lifewave.com/franfelix

mercredi 22 août 2012

De nouvelles recherches montrent qu'Alzheimer ne serait en fait qu'un diabète de type 3

Des recherches récentes sur la fréquente maladie cérébrale dégénérative connue sous le nom de maladie d'Alzheimer suggèrent que cette forme répandue de démence serait en réalité une variété de diabète. Publiée dans le Journal de la Maladie d'Alzheimer, une étude récente faite à l'Hôpital de Rhode Island (RIH) confirme que la maladie d'Alzheimer est marquée par une résistance cérébrale à l'insuline et une inflammation correspondante, maladie que certains chercheurs nomment aujourd'hui diabète de type 3.

C'est le Dr Suzanne de la Monte de l'Hôpital de Rhode Island (RIH) qui a effectué cet intéressant lien, elle a trouvé dans ses recherches que le diabète est associé de près à plusieurs facteurs neuronaux-clés impliqués dans la démence. Il apparaît que la progression de l'Alzheimer résulterait d'une résistance du cerveau à l'insuline, ce qui à son tour perturbe le métabolisme normal des lipides. Avec le temps, ces lipides s'accumulent dans le cerveau au lieu d'être correctement absorbés, ce qui conduit à une augmentation de contrainte et à de l'inflammation, symptômes semblables à ceux communément associés à la démence.

Cette étude indique qu'une fois établi le diagnostic de maladie d'Alzheimer, les efforts thérapeutiques devraient cibler plusieurs voies et non une seule, dit le Dr de la Monte. ''La raison est qu'une boucle feedback positive s'installe, faisant progresser la maladie. Il faut briser ce cercle vicieux. Restaurer une réponse à l'insuline et réduire ce taux d'insuline serait une aide, mais il faut d'abord réduire la contrainte cérébrale et réparer les problèmes métaboliques qui conduisent le cerveau à produire des toxines.''

Manger plus de graisses saturées bénéfiques comme l'huile de noix de coco peut aider à prévenir et soigner l'Alzheimer

Puisque de nombreuses personnes âgées diagnostiquées maladie d'Alzheimer prennent des statines pour abaisser leur taux de cholestérol, la première étape logique à faire serait d'arrêter de prendre ces drogues. Non seulement il a été démontré que les statines causent et aggravent la maladie d'Alzheimer, mais aussi qu'elles provoquent le diabète. Alors les prendre comme font beaucoup de patients âgés atteints de démence est contraire au bon sens, et ne fera qu'aggraver le problème.

Comme nous l'avons montré récemment ici à NN, le corps humain a besoin de cholestérol pour rester en bonne santé. Si votre taux de cholestérol est trop élevé ou si le cholestérol bouche vos artères, c'est que votre corps a un problème inflammatoire qui empêche une absorption correcte et une utilisation normale du cholestérol. Le cholestérol n'est pas le problème, en d'autre mots, c'est l'inflammation chronique de votre corps qui est le problème.

Consommer plus de graisses saturées comme l'huile de noix de coco peut non seulement aider à réparer le problème inflammatoire qui favorise la progression de l'Alzheimer, mais peut aussi augmenter l'absorption de cholestérol par le cerveau, ce qui à son tour favorise un fonctionnement sain des neurones. De tels conseils sont contraires à la philosophie erronée du système médical conventionnel, mais la science montre qu'en effet le corps humain a besoin de graisses saturées et de cholestérol, et que ces graisses sont vitales pour maintenir une santé optimale du cerveau.

''Alors qu'il est bénéfique de voir des études comme celle-ci pour aider à comprendre certaines des causes de la maladie d'Alzheimer, se tourner vers les médicaments pour traiter ces symptômes c'est se diriger dans la mauvaise direction, dit Health Impact News (HIN) au sujet de l'étude du RIH. ''Les diabètes de type 2 et 3 sont liés au style de vie, et peuvent être contrôlés et même prévenus par un choix de régimes et en évitant de prendre trop de médicaments. De nombreux succès viennent d'un contrôle et de l'élimination du diabète par des régimes pauvres en hydrates de carbone et riches en graisses.'': http://lifewave.com/franfelix

mardi 21 août 2012

5 LifeWave Athletes Win Medals at the 2012 London Summer Olympic Games!

LifeWave would like to congratulate all of our Olympic athletes on an exciting and successful 2012 Summer Olympic Games! We couldn’t be more proud of every athlete who took part in our special Olympic program and wore Energy Enhancer during the Games. Of these athletes who officially endorse LifeWave technology, five won Olympic medals! 

Medal winners include:

Sylwia Bogacka
Poland - Women’s Shooting
Silver Medal in 10m Air Rifle

Britta Heidemann
Germany - Women’s Fencing
Silver Medal in Women’s Individual Epee

Damian Janikowski
Poland - Men’s Wrestling
Bronze Medal in 84kg Greco-Roman Wrestling

Bjorn Otto
Germany - Men’s Pole Vault
Silver Medal

Betty Heidler
Germany - Women’s Hammer Throw
Bronze Medal

Many athletes who don’t officially endorse our products were also wearing our patches during the Olympics. Click the following link to see the patches in action.
www.youtube.com/watch?v=c9VtVXPksAM

For more information on Energy Enhancer—the LifeWave technology worn by the athletes during Olympic competition—please visit:http://lifewave.com/franfelix